La lettre de diffusion

Votre panier

Le panier est vide.

Nous contacter

Le Matricule des Anges
ZA Loup à Loup 83570 Cotignac
tel ‭04 94 80 99 64‬
lmda@lmda.net

Connectez-vous avec les anges

Vous n'êtes actuellement pas identifié. Pour pouvoir commander un numéro, un abonnement ou bien profiter, en tant qu'abonné, des archives en ligne, vous devez vous connecter avec votre compte.

Retrouver un compte

Vous avez un compte mais vous ne souvenez plus du mot de passe ? Vous êtes abonné-e mais vous vous connectez pour la première fois ? Vous avez déjà créé un compte, peut-être, vous ne savez plus trop ?

Créer un nouveau compte

Vous inscrire sur ce site Identifiants personnels

Indiquez ici votre nom et votre adresse email. Votre identifiant personnel vous parviendra rapidement, par courrier électronique.

Informations personnelles

Pas encore de compte?
Soyez un ange, abonnez-vous!

Vous ne savez pas comment vous connecter?

auteur Abdellatif Laâbi

Ouvrages chroniqués

Petit musée portatif Illustration(s) de Abdellatif Sadouk
de Abdellatif Laâbi
À « celui qui décidément ne prend pas racine », au poète en exil permanent qu’est Abdellatif Laâbi, Françoise Ascal a demandé de livrer les objets qui composent son espace intérieur. La demande est belle, émouvante ; elle répond au don permanent qu’est l’oeuvre du Marocain. Elle donnera naissance, surtout, à un livre magnifique rehaussé des dessins d’Abdallah Sadouk. Laâbi y a répondu en choisissant des objets souvent modestes, détenteurs d’une mémoire familiale, d’une douleur parfois, d’une humilité toujours. Le choix fait, Abdallah Sadouk est venu chez le poète dessiner entre autres,...
Thierry Guichard
juin 2002
Le Matricule des Anges n°39
Le Juge de l’ombre
de Abdellatif Laâbi
Abdellatif Laâbi écrit pour le théâtre avec ses armes de poète. Ses mots simples portent un autre regard sur notre monde pù « la peur de vivre a remplacé la peur de mouri ». La poésie est tout ce qui reste à l’homme pour réclamer sa dignité ». Cette phrase, Abdellatif Laâbi la grave en exergue du premier numéro de Souffles, la revue de poésie qu’il a fondée au Maroc en 1966 et qui cherchait à s’affranchir du pouvoir et de la littérature. Après 22 numéros, en 1969, Abdellatif Laâbi est arrêté et emprisonné. A sa sortie de prison en 1980, l’écrivain est venu vivre en France. Aujourd’hui, comme il l’a confié à la revue Jeune Afrique, il voit dans son pays « une évolution porteuse d’espérance (…) due non pas tant à un changement de cap politique qu’aux besoins...
Laurence Cazaux
décembre 1994
Le Matricule des Anges n°10