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auteur Alexeï Tolstoï

Ouvrages chroniqués

Ibycus
de Alexeï Tolstoï
2005
Si Alexeï Tolstoï, tsariste puis stalinien, a suivi avec aplomb le vent de l’Histoire, l’imagination débridée de son Ibycus laisse le lecteur toujours étourdi. Un même patronyme et une même origine noble, voilà à peu près tout ce que partageaient ces deux Tolstoï de la littérature russe. Et, comme pour dissiper toute ambiguïté, Alexeï met dans la bouche du protagoniste d’Ibycus, roman publié en 1924, de quoi régler définitivement son compte à son aîné Léon disparu quatorze ans plus tôt. Le « vieillard malfaisant », « comte » et « propriétaire terrien », « neurasthénique, bien sûr, et qui, brusquement, s’est pris de passion pour le chou » est en effet accusé d’avoir introduit le bolchevisme dans leur pays. Voilà le célèbre Léon habillé pour...
Françoise Monfort
mai 2005
Le Matricule des Anges n°63
Ibycus
de Alexeï Tolstoï
Si Alexeï Tolstoï, tsariste puis stalinien, a suivi avec aplomb le vent de l’Histoire, l’imagination débridée de son Ibycus laisse le lecteur toujours étourdi. Un même patronyme et une même origine noble, voilà à peu près tout ce que partageaient ces deux Tolstoï de la littérature russe. Et, comme pour dissiper toute ambiguïté, Alexeï met dans la bouche du protagoniste d’Ibycus, roman publié en 1924, de quoi régler définitivement son compte à son aîné Léon disparu quatorze ans plus tôt. Le « vieillard malfaisant », « comte » et « propriétaire terrien », « neurasthénique, bien sûr, et qui, brusquement, s’est pris de passion pour le chou » est en effet accusé d’avoir introduit le bolchevisme dans leur pays. Voilà le célèbre Léon habillé pour...
Françoise Monfort
mai 2005
Le Matricule des Anges n°63
Manuscrit trouvé sous un lit (suivi de) Mirage et de Vendredi noir
de Alexeï Tolstoï
1997
Alexeï Tolstoï, écrivain soviétique majeur, fut traduit en français dès les années vingt. Son credo stalinien l’a conduit aux oubliettes de la littérature. Par un tour facétieux d’homonymie, les lettres russes comptent trois Tolstoï : Léon l’auteur de Guerre et Paix, et deux inconnus dont l’un, Alexis Konstantinovitch, a produit une prose désuète tandis que l’autre, Alexeï, réapparaît à l’étal des libraires. Affublé d’une réputation de plomb, ce dernier errait depuis les années 30 dans le purgatoire des Lettres en compagnie d’abjects personnages. Comme Hamsun ou Céline, Alexeï Tolstoï a fait un choix politique terrible dont la principale conséquence sera, en Europe de l’Ouest, l’enterrement de son œuvre sous l’opprobre. Issu d’une...
Éric Dussert
novembre 1995
Le Matricule des Anges n°14
Ibycus
de Alexeï Tolstoï
Anti-bolchévique puis apologiste de Staline, Alexeï Tolstoï écrit en 1924 les aventures d’un homme qui change tout le temps de veste. Farcesque. S’il devait y avoir une morale à ce roman humoristique -précisons que ce n’était pas le genre d’Alexeï Tolstoï- ce pourrait être qu’au fond, par delà les conflits d’idéologies et les revers de l’histoire, l’important c’est de sauver sa peau. De bien la sauver. Et Semion Nezvorov s’y emploie avec une telle énergie que Tolstoï lui-même renonce à achever son ambitieux personnage, et, du coup, son roman. « L’auteur a eu beau déployer tous ses efforts, rien à faire, il n’est pas si simple d’effacer Semion Ivanovitch des pages du récit » constate-t-il dans une fin qui n’en n’est pas une....
Maïa Bouteillet
janvier 1998
Le Matricule des Anges n°22