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auteur Bernard Chambaz

Ouvrages chroniqués

La Peau du dos
de Bernard Chambaz
2022
De la rencontre inopinée d’Auguste Renoir et de Raoul Rigault, Bernard Chambaz extrapole un récit plein de flegme et d’indulgence. Longtemps, les romanciers n’ont pas su parler de la peinture. Obnubilés par le sujet, par l’idée sous-jacente à sa représentation, ils n’ont su voir chez les peintres que des écrivains privés de mots et voués à la folie, quand le rapin se trouve être en réalité un bien plus drôle d’animal, qu’on pourrait se figurer, pour faire court, comme un gros œil doté d’une main. Mais on a progressé depuis Balzac et Zola et, récemment, un Mika Biermann a su, avec malice et en bon connaisseur de la chose peinte, prendre la juste et très humaine mesure d’un Cézanne ou d’une Berthe Morisot. Au tour de...
Yann Fastier
septembre 2022
Le Matricule des Anges n°236
Plonger
de Bernard Chambaz
2011
En matière de football, la littérature n’est pas en reste. Souvenons-nous. Quelques mois après la finale de la Coupe du monde 2006 à Berlin, Jean-Philippe Toussaint rédigeait La Mélancolie de Zidane. Un bref récit dans lequel l’auteur revenait sur le fameux coup de tête que Zidane assena à un certain Materazzi. Avec Plonger, Bernard Chambaz s’attache au récit d’une vie autrement plus dramatique : celle du gardien de but de l’équipe de Hanovre, Robert Enke. Le 10 novembre 2009, soit le lendemain de la célébration du vingtième anniversaire de la chute du Mur de Berlin, dans une petite...
Jérôme Goude
mai 2011
Le Matricule des Anges n°123
Hourra l’Oural encore
de Bernard Chambaz
2020
Fort d’un tropisme assumé pour la chose russe, Bernard Chambaz a donc fait l’Oural. Se plaçant à juste distance d’un Aragon en pleine extase stalinienne, il livre ici son propre Hourra l’Oural en forme de journal de voyage. En compagnie de son « amoureuse » (sic) et en deux fois – un coup l’hiver, un coup l’été – il sillonne à pied, en train et en voiture cette barrière montagneuse dont on a souvent voulu faire la frontière ultime de l’Europe. Un voyage, ce sont des paysages, des rencontres et des livres. Le paysage, ce sera d’abord la paradoxale fascination pour la grande plaine russe...
Yann Fastier
octobre 2020
Le Matricule des Anges n°217
Eté 2
de Bernard Chambaz
2010
Avec Été II, Bernard Chambaz publie un livre-somme où l’inconsolable (du fils disparu) et l’habitation encore possible d’un monde se questionnent sans cesse. Le deuxième versant de Été commence à la séquence 501, à l’ouverture du chant VI, et s’étire jusqu’à son dernier chant (le dixième) et son ultime plan-séquence (le mille et unième). Soit un chant par an écrit dans la première décennie du siècle. On pourrait s’étonner de la contrainte temporelle, et s’interroger sur sa nécessité. à quoi on serait tenté de répondre qu’elle n’appartient qu’à son auteur, que c’est là le rapport caché (ésotérique) du moteur de son écriture : « par où commencer, repartir, la question ne se pose pas vraiment. je repars du seul point possible, toi, petit...
Emmanuel Laugier
octobre 2010
Le Matricule des Anges n°117
Été
de Bernard Chambaz
2005
En cinq cents séquences, « Été » déplie la grande mémoire constitutive d’un trajet de vie. Un véritable bréviaire contre le désenchantement. Il y a des livres qui vous tiennent jusqu’au bout presque en apnée. Ils vous tiennent et vous permettent pourtant de lever les yeux vers l’extérieur, de vérifier que ce que l’on lit, là, n’est pas le simple revers d’un rêve dont la tâche serait, à la fin, de nous séparer du monde, de l’altérité dans laquelle nous nous vérifions nous-mêmes comme des êtres agissants, des êtres de langage, de rêves, de veilles. Été de Bernard Chambaz fait partie de ces ouvrages-là. Il nous confronte à ce métier de vivre qu’est l’écriture. Ce long poème séquencé fait s’alterner deux formes distinctes, le...
Emmanuel Laugier
mai 2005
Le Matricule des Anges n°63
Le Pardon aux oiseaux
de Bernard Chambaz
Bernard Chambaz a décidé de changer d’horizons. Dans son dernier roman, il part à l’aventure. Destination l’Australie et les dernières années du XIXe siècle. Tout à la fois roman initiatique, western, road movie avec l’équateur en point de mire, Le Pardon aux oiseaux a pourtant un air de déjà vu. La mère est morte. Il faut annoncer la nouvelle au fils aîné, disparu en Australie. Ses deux frères prennent la mer. Inutilement, en couverture, Chambaz renvoie à ses ouvrages précédents, à l’absence qui, encore et toujours, déchire son œuvre. Le charme pourtant n’opère plus. Le roman semble...
Anne Riera
janvier 1999
Le Matricule des Anges n°25