auteur Édith Azam
Ouvrages chroniqués
Rupture
de
Édith Azam
2008
Comment la poésie se fait délire, Artaud le grand malade l’avait déjà montré et Edith Azam se jette à sa trace, éperdument, dans une exploration artistique d’états mentaux - réels ou pas - limites. « Rien que, rien que, rien que parce qu’il faut le vivre, cette lame qui tombe, juste un instant seulement, elle tombe, te coupe à la ligne et t’ouvre jusqu’à toi - »
La forme langagière tient lieu et place d’une expérience du corps, et fatalement de l’esprit, aussi insupportable que fascinante : « Blanc silence : Secousse sismique - / Il ne faut pas me détacher de moi - / Il ne faut pas...
Opium / le ciel, et le vent ?
Illustration(s) de Daphné Collignon
de
Édith Azam
2008
Comment la poésie se fait délire, Artaud le grand malade l’avait déjà montré et Edith Azam se jette à sa trace, éperdument, dans une exploration artistique d’états mentaux - réels ou pas - limites. « Rien que, rien que, rien que parce qu’il faut le vivre, cette lame qui tombe, juste un instant seulement, elle tombe, te coupe à la ligne et t’ouvre jusqu’à toi - »
La forme langagière tient lieu et place d’une expérience du corps, et fatalement de l’esprit, aussi insupportable que fascinante : « Blanc silence : Secousse sismique - / Il ne faut pas me détacher de moi - / Il ne faut pas...