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auteur Iouri Bouïda

Ouvrages chroniqués

L' Abominosaure
de Iouri Bouïda
2023
Depuis que son Train zéro (1994) a traversé le paysage littéraire, sans s’arrêter, Iouri Bouïda est l’un des écrivains russes à suivre, et son Abominosaure confirme l’intérêt qu’on lui porte. Dans cette novella, rapide et sans bavure, Bouïda campe un personnage qui oscille entre le grotesque et le métaphorique. « Personne ne savait ce qui pouvait lui passer par la tête la minute suivante, à ce taureau à moitié débile. Il était très grand, large d’épaules, avec un mufle plat et une petite tête au bout d’un long cou. Un troglodyte. Un dinosaure. Un abominable tétrapode. » Sans que l’on...
Éric Dussert
juin 2023
Le Matricule des Anges n°244
Epître à madame ma main gauche
de Iouri Bouïda
2010
Dans un pur exercice de style, le Russe Iouri Bouïda brode douze récits comme autant de variations sur la contemplation et le sens caché de la communauté. Qu’on ne s’y trompe pas, Epître à Madame ma main gauche est bien l’œuvre d’un contemporain. Même si tout porte à penser le contraire. À commencer par le style délicieusement anachronique avec lequel il entreprend d’écrire la nouvelle éponyme de ce court recueil. Né en 1954 en Prusse occidentale, Iouri Bouïda s’est fait connaître en France avec Train zéro (Gallimard, 1998). Si la même atmosphère mystérieuse subsiste dans certaines des nouvelles aujourd’hui traduites, l’auteur montre toute l’étendue de ses talents. Véritable caméléon, il peut à la fois s’enticher de la tradition libertine...
Benoît Legemble
janvier 2011
Le Matricule des Anges n°119
train zéro
de Iouri Bouïda
1998
Le Russe Iouri Bouïda nous raconte l’histoire d’un train fantôme dans une gare de la Russie d’après-guerre. Un huis clos oppressant. Plantons rapidement le décor, comme nous le ferions pour une pièce de Beckett : deux baraques pleines de courants d’air, un pont rouillé, dont « l’ossature métallique disgracieuse » surplombe une rivière souvent en crue, et tout autour de la boue. Sans oublier, gardant l’entrée d’un entrepôt, des « chiens féroces mangeurs d’homme », et des rails qui mènent Dieu sait où. Bienvenue à la station Neuf, une gare située quelque part dans une Russie inhospitalière, où tente de vivre une poignée d’hommes et de femmes qui n’aspirent qu’à quitter les lieux et le sinistre quotidien qui est le leur....
Didier Garcia
juillet 2019
Le Matricule des Anges n°205
Voleur, espion et assassin
de Iouri Bouïda
2018
L’auteur à l’imaginaire débridé du Train zéro raconte « l’âme russe ». Une fresque joyeuse et délirante sur le métier d’écrivain, la liberté et l’Histoire. Écrivain ? « C’est un métier de voleur, d’espion et d’assassin. Un écrivain espionne, il écoute les gens en douce, il vole les paroles des autres, puis il met tout ça sur le papier, il arrête l’instant, comme disait Goethe, autrement dit, il tue ce qui est vivant au nom de la beauté… » À mi-chemin de son autobiographie déguisée en fiction à moins que ce ne soit l’inverse, le Russe Iouri Bouïda rétorque penaud à son interlocutrice : « Il ne tue pas, il donne une autre vie, une vie nouvelle…  » Il a alors une vingtaine d’années, il est piètre étudiant, s’essaie à la drague, s’imagine...
Martine Laval
mai 2018
Le Matricule des Anges n°193