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auteur Jack Spicer

A propos

Spaces for Spicer Jack Spicer (1925-1965) écrit des poèmes où le désir des garçons frôle savamment l’enjambement des vers, où de simples fantômes, exposés et sensibles, deviennent corps conducteurs de sa propre parole. Le titre choisi par cette édition qui regroupe l’ensemble de ses livres se réfère à l’avant-dernière phrase prononcée par Jack Spicer, agonisant, à l’un de ses amis. Par ce « c’est mon vocabulaire qui m’a fait ça », il faut entendre, comme le suggère son traducteur, à la fois une constatation et une dénonciation, une trahison et un étonnement, de ce que le langage lui aurait fait subir, comme autant de coups reçus : mourir en fait avant l’heure si l’on en croit la sorte de boutade qu’il fit sur le tard : « Oh, merde ! je suis si vieux que Rimbaud était mort bien avant mon âge, à...
avril 2006
Le Matricule des Anges n°72

Ouvrage chroniqué

Trois leçons de poétique
de Jack Spicer
2013
Les Trois leçons de poétique de Jack Spicer sont de formidables divagations, allusives et accordées à sa façon d’aller toujours vers sa propre ignorance. C’est mon vocabulaire qui m’a fait ça  » (My Vocabulary Did This to Me) sont les derniers mots qu’aurait prononcés Jack Spicer (né en 1925 à Los Angeles) avant sa mort en 1965 : il ne parle pas seulement de la puissance des mots, mais de tout le réseau qui constitue les champs lexicaux d’un poète et de leur force à pouvoir, à tel moment, l’éventrer… Cette phrase, si simple en apparence, pourrait être la synthèse de tout le travail du merveilleux poète que fut Jack Spicer, mais aussi le signe de l’utopie communautaire qu’il plaçait au centre de la tâche de toute véritable écriture ;...
Emmanuel Laugier
avril 2013
Le Matricule des Anges n°142