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auteur Jacques Abeille

A propos

Jubilé des contrées En 1982, Jacques Abeille découvrait les jardins fantastiques où poussent les statues. Son « cycle des Contrées » est entré depuis dans l’étroit club des grands livres de la littérature française. Jacques Abeille peut se vanter de connaître un sort éditorial unique : tandis que tant d’auteurs prometteurs, arrogants à la mesure du tonitruant de leur démarrage, mangent la poussière avant d’imprimer leur millième page, il traverse les décennies à dos d’éditeurs sans cesse différents, souvent les plus militants et les plus amicaux, et toujours parmi les plus indépendants. Cette année, il connaît ce que l’on peut appeler un jubilé grâce au Tripode, trente-quatre ans après la publication par Flammarion des Jardins statutaires, premières pierres d’un « cycle des Contrées » désormais...
avril 2016
Le Matricule des Anges n°172

L’ombilic du rêve

Imprégné par l’onirisme noir de l’eau-forte, « Le Veilleur du jour » de Jacques Abeille projette un antihéros au cœur d’un espace urbain dont les murs sécrètent d’étranges symboles. Certains auteurs, parmi les plus exigeants, souffrent de la clandestinité des poètes maudits. En dépit de la diffusion quasi confidentielle de leurs textes, ils s’obstinent à arpenter des terres que seul le sens de l’engagement irrigue. Électron libre et Pygmalion inspiré, Jacques Abeille façonne une œuvre dans les contours géographiques de laquelle l’arborescence du rêve enfante...
novembre 2007
Le Matricule des Anges n°88

Accueillir les voix

Ecrivain discret venu du surréalisme, Jacques Abeille, dont les textes sont hantés par des figures féminines qui nous hantent à leur tour, fait l’apologie de l’aliénation comme chemin vers le génie…. Découvrir les textes de Jacques Abeille vaut bien une enquête dont nous ne pouvons pas rendre entièrement compte. Ce Bordelais a d’abord publié sous pseudonyme (Bartleby par exemple) puis s’est lancé sous son nom dans des œuvres parues chez Flammarion et Zulma tout en citant dans ses livres les ouvrages parus auparavant comme étant ceux d’un autre ! La rencontre avec le surréalisme...
septembre 2000
Le Matricule des Anges n°32

Ouvrages chroniqués

La Barbarie
de Jacques Abeille
2011
Le narrateur de La Barbarie raconte comment, de retour à Terrèbre, sa ville natale, il fut insensiblement pris dans l’étau d’une machination totalitaire. La Barbarie, ses quelque 123 pages, constitue l’épilogue des Barbares (cf. Lmda N°125), mais il peut aussi être lu comme un récit autonome, à savoir indépendamment des autres œuvres imaginatives qui composent Le Cycle des contrées. Plus avant, cet opuscule inédit pourrait bien être une excellente porte d’entrée pour celles et ceux qu’intimiderait l’écriture profuse, visionnaire et baroque, de Jacques Abeille. Les thèmes qu’il déploie, les réflexions qu’il sous-tend et jusqu’aux références textuelles dont il semble estomper les reliefs trop saillants, insuffleront sûrement aux non-initiés,...
Jérôme Goude
novembre 2011
Le Matricule des Anges n°128
Les Barbares
de Jacques Abeille
2011
Voyage dans une langue rare, Les Barbares de Jacques Abeille part à la recherche de l’auteur des Jardins statutaires. À la page 471 des Jardins statuaires, chef-d’œuvre inclassable réédité par les éditions Attila en 2010, un dernier face-à-face oppose le narrateur et le Prince des steppes. Ledit narrateur, fidèle aux traditions hermétiques d’une province menacée de toutes parts, réaffirme son refus de suivre le chef de la horde des barbares dans sa conquête meurtrière, d’être son historiographe personnel. Avant de s’éloigner en poussant un terrible éclat de rire, le Prince lui rétorque ceci : « Tu viens trop tard, homme, voyageur, gardien, sauveur. Tu viens trop tard. Avec le métal que tu quémandes...
Jérôme Goude
juillet 2011
Le Matricule des Anges n°125
Fins de carrière
de Jacques Abeille
2015
Jacques Abeille aime les portes dérobées, les tiroirs secrets, les miroirs sans tain. Bref, tout ce qui débouche sur autre chose, l’inattendu, l’invisible, l’inconnu. Dans ce recueil, qui laisse à tort suggérer quelque variation autour de la retraite, l’auteur des Jardins statuaires livre un « recueil de contes plus ou moins fantastiques », pour citer le narrateur de la nouvelle intitulée « Mon dernier récit IV ». Après avoir donné des écrits érotiques à ce même éditeur, Abeille propose cette fois sept textes qui, outre le fait d’avoir quasiment tous déjà parus en revues, ont en commun de...
Anthony Dufraisse
juin 2015
Le Matricule des Anges n°164
Les Jardins statuaires
de Jacques Abeille
2010
Nouvelle édition du roman monumental de Jacques Abeille où le fantastique, l’imaginaire et une langue au mille reflets emportent le lecteur au seuil des ténèbres. Certains livres réunissent autour d’eux des aficionados pour lesquels la seule évocation du titre fait office de Sésame. On murmure qu’on a lu tel roman et l’on est aussitôt accueilli d’un éclat dans le regard, d’un sourire complice. Les Jardins statuaires de Jacques Abeille génère ainsi toute une rumeur au travers de ses rééditions. Publié par Bernard Noël pour la première fois en 1982 dans la collection qu’il dirigeait alors chez Flammarion, ce roman consistant n’aura eu de cesse d’émouvoir ceux entre les mains desquels il sera passé. Dans l’usage d’une langue aux reflets chatoyants et...
Thierry Guichard
novembre 2010
Le Matricule des Anges n°118
Les Jardins statuaires
de Jacques Abeille
2004
Explorateur d’une étrange province, Jacques Abeille a découvert les jardins fantastiques où poussent les statues. Un chef-d’œuvre. Si l’on ajoutait un bandeau à la réédition du Jardin statuaire de Jacques Abeille, il mentionnerait « Attention : classique » sans être mensonger. Et Bernard Noël ne pas dit autre chose dans sa préface lorsqu’il place le Bordelais auprès de Buzzati, Coëtzee, Gracq ou Puységur (La Grande Bibliothèque, 1984). Premier volume du Cycle des contrées, Les Jardins statuaires (Flammarion, 1982) forme avec Le Veilleur du jour (Flammarion, 1986) et La Clef des ombres (Zulma, 1991) un ensemble énigmatique au charme puissant. Un « rêve éveillé » dit en substance Bernard Noël tant il est vrai que...
Éric Dussert
mars 2004
Le Matricule des Anges n°51