La lettre de diffusion

Votre panier

Le panier est vide.

Nous contacter

Le Matricule des Anges
ZA Loup à Loup 83570 Cotignac
tel ‭04 94 80 99 64‬
lmda@lmda.net

Connectez-vous avec les anges

Vous n'êtes actuellement pas identifié. Pour pouvoir commander un numéro, un abonnement ou bien profiter, en tant qu'abonné, des archives en ligne, vous devez vous connecter avec votre compte.

Retrouver un compte

Vous avez un compte mais vous ne souvenez plus du mot de passe ? Vous êtes abonné-e mais vous vous connectez pour la première fois ? Vous avez déjà créé un compte, peut-être, vous ne savez plus trop ?

Créer un nouveau compte

Vous inscrire sur ce site Identifiants personnels

Indiquez ici votre nom et votre adresse email. Votre identifiant personnel vous parviendra rapidement, par courrier électronique.

Informations personnelles

Pas encore de compte?
Soyez un ange, abonnez-vous!

Vous ne savez pas comment vous connecter?

auteur Jean Ajalbert

A propos

Indochine mon amour Avocat des anarchistes, poète, écrivain, Jean Ajalbert a fait ses armes pendant l’affaire Dreyfus avant de donner à l’Indochine française ses lettres… et de mal finir. Un demi-siècle avant que Marguerite Duras dégoise, quelques littérateurs tout à fait méprisés l’avaient devancée. D’Afrique ou d’Asie, les colonies d’alors regorgeaient de lettrés avec lesquels nos contemporains d’expat’ qu’ils soient ingénieurs ou diplomates n’essayeront pas, s’ils sont prudents, de rivaliser. Il est vrai que les trajets, qui s’effectuaient au rythme consulaire, offraient alors assez de temps pour parfaire une éducation. Et puis la lecture était encore un article à la mode. Quoiqu’on en dise, le « progrès » n’est pas à sens unique. Jean Ajalbert, fils d’un Auvergnat...
juillet 2005
Le Matricule des Anges n°65