La lettre de diffusion

Votre panier

Le panier est vide.

Nous contacter

Le Matricule des Anges
ZA Loup à Loup 83570 Cotignac
tel ‭04 94 80 99 64‬
lmda@lmda.net

Connectez-vous avec les anges

Vous n'êtes actuellement pas identifié. Pour pouvoir commander un numéro, un abonnement ou bien profiter, en tant qu'abonné, des archives en ligne, vous devez vous connecter avec votre compte.

Retrouver un compte

Vous avez un compte mais vous ne souvenez plus du mot de passe ? Vous êtes abonné-e mais vous vous connectez pour la première fois ? Vous avez déjà créé un compte, peut-être, vous ne savez plus trop ?

Créer un nouveau compte

Vous inscrire sur ce site Identifiants personnels

Indiquez ici votre nom et votre adresse email. Votre identifiant personnel vous parviendra rapidement, par courrier électronique.

Informations personnelles

Pas encore de compte?
Soyez un ange, abonnez-vous!

Vous ne savez pas comment vous connecter?

auteur Jean Amery

A propos

Jean Améry : écrire contre l'ordre des choses Le lecteur français peut, depuis quelques années, découvrir les textes que Jean Améry a consacrés à Auschwitz. Une même exigence creuse les limites du témoignage, jusqu’à mettre radicalement en cause. Je parle en ce moment de Hans Mayer, alias Jean Améry, philosophe suicidé et théoricien du suicide (…) : sa vie est tendue entre ces deux noms, une vie qui n’a pas connu la paix et ne l’a pas recherchée. » C’est par ces lignes, extraites du livre de Primo Levi Les Naufragés et les rescapés (Gallimard, 1989) que le lecteur français a pu faire la connaissance de Jean Améry, philosophe et écrivain juif né à Vienne en 1912, déporté à Auschwitz-Monowitz à la suite de son arrestation, comme membre d’un réseau de résistance belge, en 1943, et mort de mort volontaire, à Salzbourg, en 1978. La...
juin 1996
Le Matricule des Anges n°16

Ouvrage chroniqué

Les Naufragés
de Jean Amery
2010
Le roman de jeunesse de l’Autrichien Jean Améry décrit l’impasse existentielle d’un intellectuel face à la montée du nazisme. Première incursion de l’écrivain dans la forme du roman, qu’il réitérera plus tard avec Lefeu ou la démolition (1974), Les Naufragés est plutôt un roman-essai, tant il est vrai que celui qui s’appelle encore Hans Mayer y compose déjà ses idées. À propos de ce texte, qu’il reprendra après la guerre et sa déportation à Auschwitz, mais qui ne sera publié finalement qu’après son suicide le 17 octobre 1978, le jeune auteur était enthousiaste. Comme le rapporte I. Heidelberger-Leonard dans la biographie très étayée qu’elle lui a consacrée (Actes Sud, 2007), Mayer n’hésita pas à l’envoyer...
Sophie Deltin
mars 2010
Le Matricule des Anges n°111