La lettre de diffusion

Votre panier

Le panier est vide.

Nous contacter

Le Matricule des Anges
ZA Loup à Loup 83570 Cotignac
tel ‭04 94 80 99 64‬
lmda@lmda.net

Connectez-vous avec les anges

Vous n'êtes actuellement pas identifié. Pour pouvoir commander un numéro, un abonnement ou bien profiter, en tant qu'abonné, des archives en ligne, vous devez vous connecter avec votre compte.

Retrouver un compte

Vous avez un compte mais vous ne souvenez plus du mot de passe ? Vous êtes abonné-e mais vous vous connectez pour la première fois ? Vous avez déjà créé un compte, peut-être, vous ne savez plus trop ?

Créer un nouveau compte

Vous inscrire sur ce site Identifiants personnels

Indiquez ici votre nom et votre adresse email. Votre identifiant personnel vous parviendra rapidement, par courrier électronique.

Informations personnelles

Pas encore de compte?
Soyez un ange, abonnez-vous!

Vous ne savez pas comment vous connecter?

auteur Jean-Pierre Spilmont

Ouvrages chroniqués

Sébastien
de Jean-Pierre Spilmont
2010
D’une histoire attachante où s’entend la voix fragile d’un fils mal-aimé, Jean-Pierre Spilmont parvient à faire le roman de toute une enfance meurtrie. Poignant. Certains livres semblent avoir été écrits sous la protection de la grâce. C’était le cas, par exemple, du très sensible Leur histoire de Dominique Mainard. C’est, dans un registre légèrement différent, celui aussi de Sébastien, quatrième roman du poète et dramaturge Jean-Pierre Spilmont. Tout y est et rien n’est en trop dans cette narration équilibrée au plus juste, fragile comme l’enfance qu’elle évoque. D’une fluidité limpide, le roman déroule le calvaire d’un gamin marqué au sceau du désamour : « je crois que c’est au début du mois de mai, cette année-là, que ç’a commencé à mal...
Thierry Guichard
mars 2010
Le Matricule des Anges n°111
Une clarté de passage
de Jean-Pierre Spilmont
Il se prépare un grand silence/ Une transhumance des mots/ vers on ne sait quel territoire/ de déshérence/ (…) Mais il demeure/ sur l’horizon/ une fêlure/ une simple fêlure/ d’où pourrait naître/ un signe. » C’est dans cette fêlure que s’engouffrent les mots de Jean-Pierre Spilmont. Un chant comme une attente, comme une révolte, un espoir. Comme une clarté justement. Clarté au sens d’acceptation. Mais une acceptation qui n’a rien d’une résignation. Plutôt une souffrance béante « avant, juste avant la transmutation soudaine du sommeil en brasier ». Le feu de la vie. Encore et encore. Le...
Corinne Robert
mars 1997
Le Matricule des Anges n°19