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auteur John Cheever

Ouvrages chroniqués

Les Wapshot
de John Cheever
2008
Premier roman du nouvelliste John Cheever, Les Wapshot stigmatise les mœurs et tocades d’une famille du Massachusetts. Quelque part, au hasard des contours fluviaux du petit État du Massachusetts, gît un vieux bourg, Saint-Botolphs ; ses ormes, son abreuvoir de granit et son monument aux morts. C’est là, entre le son des cloches de Christ Church et un « sentiment d’immuable et réconfortante stabilité », que John Cheever (1912-1982) situe l’essentiel de l’intrigue des Wapshot. Publié en 1957, ce roman à la fois tendre et incisif sonde les excentricités de Yankees travaillés par la honte sexuelle et le même caractère d’ « orgueilleuse humilité ». Quel grossier trouble-fête a bien pu associer...
Jérôme Goude
septembre 2008
Le Matricule des Anges n°96
Déjeuner de famille
de John Cheever
2007
Dans les courts récits de « Déjeuner de famille », l’Américain John Cheever (1912-1982) dissout le vernis social d’une humanité tiraillée entre idéal de pacotille, bas instincts et componction. Longtemps, une improbable élite s’est obstinée à ne voir en John Cheever qu’un tâcheron du New Yorker. D’aucuns pinaillent encore et proclament Raymond Carver en tout supérieur. Dans Les Vitamines du bonheur, ce dernier ne s’est-il pas fendu d’un probant hommage au « Tchekhov des banlieues » ? « Le train », plus qu’une suite apéritive de l’hitchcockienne nouvelle « Le 17h48 », pourrait bien n’être que l’ultime reconnaissance de l’acuité dramatique et quasi clinique de John Cheever. À l’instar de l’écrivain John Updike, Cheever radiographie les fissures imperceptibles et insinuantes de...
Jérôme Goude
juin 2007
Le Matricule des Anges n°84
Les Lumières de Bullet Park
de John Cheever
2003
Romancier visionnaire, John Cheever (1912-1982) tisse le portrait d’une Amérique bien-pensante. Et ne se fait pas d’illusions sur le sort réservé à ceux qui voudraient la réveiller. Prenez une petite musique de chambre, une berceuse qui tisse gentiment des accords religieux, puis, sournoisement, glissez un bémol et une note en mineur dans la partition, puis une autre, une autre encore, et maintenant comme le son d’une percussion qui monte, un soupçon d’inquiétude, juste de quoi modifier le tempo de la mélodie, le perturber, faire apparaître des dissonances, des désaccords, tenez le rythme malgré la rumeur qui grandit, les cris maintenant, la folie, tenez bon, vous êtes au paradis, autant dire : en Amérique. Plus exactement à Bullet Park où nous débarquons en même...
Thierry Guichard
juillet 2003
Le Matricule des Anges n°45