La lettre de diffusion

Votre panier

Le panier est vide.

Nous contacter

Le Matricule des Anges
ZA Loup à Loup 83570 Cotignac
tel ‭04 94 80 99 64‬
lmda@lmda.net

Connectez-vous avec les anges

Vous n'êtes actuellement pas identifié. Pour pouvoir commander un numéro, un abonnement ou bien profiter, en tant qu'abonné, des archives en ligne, vous devez vous connecter avec votre compte.

Retrouver un compte

Vous avez un compte mais vous ne souvenez plus du mot de passe ? Vous êtes abonné-e mais vous vous connectez pour la première fois ? Vous avez déjà créé un compte, peut-être, vous ne savez plus trop ?

Créer un nouveau compte

Vous inscrire sur ce site Identifiants personnels

Indiquez ici votre nom et votre adresse email. Votre identifiant personnel vous parviendra rapidement, par courrier électronique.

Informations personnelles

Pas encore de compte?
Soyez un ange, abonnez-vous!

Vous ne savez pas comment vous connecter?

auteur Max de Carvalho

Ouvrages chroniqués

Enquête sur les domaines mouvants
de Max de Carvalho
2007
Ils viennent de loin, les poèmes de Max de Carvalho, né à Rio de Janeiro, en 1961, d’une mère brésilienne et d’un père polonais, tous deux artistes lyriques, qui s’établiront en France en 1970. Créateur de La Treizième, une revue dont chaque numéro était conçu comme un livre-partition, il vit aujourd’hui dans les solitudes de la Montagne noire où ont été écrits les poèmes qui composent l’Enquête sur les domaines mouvants. Ceux d’un homme dont l’esprit de pauvreté et le souci de l’absolu sont la façon d’aller à la rencontre de ce que nous dit le monde à travers les moissons du vent,...
Richard Blin
juin 2007
Le Matricule des Anges n°84
Adresse de la multiplication des noms
de Max de Carvalho
Adresse de la multiplication des noms, le premier recueil du poète de langue française Max de Carvalho commence avec un prélude qui fixe les intentions de l’auteur tout en préservant l’émerveillement de l’enfance : « Fantôme du pied de groseillier au fond du jardin,/ fantôme de la boucle de cerises encore dans l’arbre du printemps,/ sous le soleil,/ spectre sylvestre de chien,/ et toi, fantôme de la mèche de cheveux pour l’écrin refermé,/ substances tues,/ objets laissés sur la coiffeuse de la chambre la plus fraîche,/ en été,/ je vous invoque. » Cette invocation dévoile un univers...
Marc Blanchet
juillet 1997
Le Matricule des Anges n°20