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auteur Michèle Lesbre

A propos

L'écume des âges Dans Un lac immense et blanc, une femme, entichée de l’écrivain Giorgio Bassani et de films néoréalistes italiens, laisse affleurer ses souvenirs. Michèle Lesbre donne corps à une mémoire sensible. Tôt le matin, avant de traverser le Jardin des Plantes pour s’enfermer dans un bureau, Edith Arnaud s’accoude au comptoir du Café lunaire. Là où, chaque mercredi, elle guette la discussion du serveur et de l’homme du train de 8h15, tous deux natifs de Ferrare, ville italienne située en Émilie-Romagne. Or, quand commence Un lac immense et blanc, décor et habitudes sont comme chamboulés. Edith Arnaud a pris un jour de congé et se rend à la gare d’Austerlitz dans l’espoir d’évoquer, avec celui qu’elle surnomme l’Italien, Ferrare, le delta du Pô, alors même qu’ils n’ont jamais échangé ne...
mai 2011
Le Matricule des Anges n°123

Ouvrages chroniqués

La Furieuse. Rives et dérives
de Michèle Lesbre
2023
Dans un récit soyeux et ondoyant, Michèle Lesbre célèbre des moments enfuis, voyages et livres, comme pour mieux réinventer la vie. Dans ses « nuits inquiètes », Michèle Lesbre laisse venir à elle des images, des instants du passé qui resurgissent presque intacts. Ses souvenirs prennent vie comme ces parties de pêche près d’un petit étang avec son grand-père Léon, « chacun sa canne, chacun ses rêves ». Et puis le silence, la nature, toute cette enfance qui revient comme un boomerang et qui pourrait ressembler de près ou de loin à d’autres enfances. Avec La Furieuse, rives et dérives, l’autrice abandonne le roman pour le récit autobiographique, un genre de prose où il fait bon se glisser entre ses mots, s’aventurer...
Martine Laval
février 2023
Le Matricule des Anges n°240
Tableau noir
de Michèle Lesbre
2020
En a-t-elle connu des ministres de l’Éducation nationale, durant sa carrière d’instit’ puis de directrice d’école ! Michèle Lesbre les a comptés : pas moins de dix-huit en tout, des très oubliés Lucien Paye ou Christian Beullac aux plus marquants (pas forcément en bien…) Claude Allègre et François Bayrou. « Écrire sur l’école, c’est retrouver en désordre des moments, des doutes, et ce perpétuel sentiment d’être au plus près de l’essentiel, parce que l’exercice de ce métier continue de construire nos vies, tout en portant celles qui nous sont confiées », dit l’auteure, qui signe là son...
Anthony Dufraisse
novembre 2020
Le Matricule des Anges n°218
Chère brigande
de Michèle Lesbre
2016
D’une écriture intimiste, Michèle Lesbre revient d’une façon très incarnée sur la vie de la brigande Marion du Faouët. D’une Marion l’autre ; déclic, glissement. Parce qu’une SDF ainsi prénommée trouve un temps abri non loin de son domicile parisien et vient à lui rappeler l’autre Marion, ce Robin des Bois au féminin du début du XVIIIe siècle, Michèle Lesbre part sur ses traces dans le Finistère. Que n’a-t-on pas déjà écrit sur Marion du Faouët (1717-1755) ? Serait-ce alors un livre de plus sur la brigande bretonne ? Non : plus qu’un livre, c’est une déclaration d’affection, celle qui, confusément, porte un être vers un autre à travers le temps et les mots. « Raconter ta vie, d’autres l’ont fait, moi...
Anthony Dufraisse
mars 2017
Le Matricule des Anges n°181
Le Canapé rouge
de Michèle Lesbre
2007
Sans nouvelle de Gyl, autrefois son amant, une femme, qui aujourd’hui vit seule, se lance dans un long voyage ferroviaire à travers la Russie, vers le lac Baïkal. C’est là que Gyl est parti vivre ses rêves de vie meilleure. Dans le même temps, à Paris, une vieille dame, Clémence, voisine de la globe-trotteuse toujours amoureuse, attend son retour. Elle regrette les séances de lecture que lui prodiguait celle-ci. Toutes deux, l’une en avalant les kilomètres, l’autre en s’asseyant des heures entières sur son canapé rouge, revivent les souvenirs d’une passion perdue : « Nous allions chacune...
Franck Mannoni
septembre 2007
Le Matricule des Anges n°86
Un Certain Felloni Illustration(s) de Gianni Burattoni
de Michèle Lesbre
2004
En cette nuit de décembre 43, au pied du château des Este, abattu par les armes fascistes comme dix autres hommes alors qu’il passait là par hasard « , un certain Felloni, blessé et recroquevillé dans la neige, attend qu’un camion vienne l’emmener là où il devra mourir. Extrait d’une nouvelle de Giorgio Bassani intitulée » Une nuit de 43 « , le personnage de Felloni a intrigué Michèle Lesbre, tombée amoureuse de la ville de Ferrare, en Italie, chère à Bassani. En faisant de Felloni l’ange contemplateur qui dresse le portrait du microcosme ferrarais fasciste, résistant ou tout simplement...
Franck Mannoni
juin 2004
Le Matricule des Anges n°54