La lettre de diffusion

Votre panier

Le panier est vide.

Nous contacter

Le Matricule des Anges
ZA Loup à Loup 83570 Cotignac
tel ‭04 94 80 99 64‬
lmda@lmda.net

Connectez-vous avec les anges

Vous n'êtes actuellement pas identifié. Pour pouvoir commander un numéro, un abonnement ou bien profiter, en tant qu'abonné, des archives en ligne, vous devez vous connecter avec votre compte.

Retrouver un compte

Vous avez un compte mais vous ne souvenez plus du mot de passe ? Vous êtes abonné-e mais vous vous connectez pour la première fois ? Vous avez déjà créé un compte, peut-être, vous ne savez plus trop ?

Créer un nouveau compte

Vous inscrire sur ce site Identifiants personnels

Indiquez ici votre nom et votre adresse email. Votre identifiant personnel vous parviendra rapidement, par courrier électronique.

Informations personnelles

Pas encore de compte?
Soyez un ange, abonnez-vous!

Vous ne savez pas comment vous connecter?

auteur Philippe Testard-Vaillant

Ouvrage chroniqué

Le Relais Impérial
de Philippe Testard-Vaillant
Agé de trente-quatre ans et habitant en région parisienne, Philippe Testard-Vaillant occupe son temps entre le journalisme et l’édition où il est chargé, chez Hatier, de lancer des collections d’ouvrages de vulgarisation scientifique pour les enfants. Il collabore également à divers magazines comme Sciences et vie ou L’Événement du jeudi. C’est la première fois qu’il envoie une nouvelle. En littérature, Philippe Testard-Vaillant apprécie Valéry Larbaud, Paul Claudel et Jorge Luis Borges. Dernier livre acheté : François Sureau, L’Aile de nos chimères (déception).. Depuis le départ de Mademoiselle Brazza (à l époque où je fis sa connaissance, Mademoiselle Brazza prenait déjà du ventre et de grands airs ; un tatouage bleuté émergeait de son décolleté où frétillaient deux voluptueuses larmes blanches bouffant d’orgueil oriental ; Mademoiselle Brazza, tout en seins, menait une vie constellée d’euphémismes amoureux, ensorcelant la queue de ses sigisbées qu’elle jetait, l’amour accompli. comme des mégots de Kool), je parlais peu, pleurais à verse, vaporisant des maux d’esprit avec l’ostentation d’un cardinal empourpré de frais. Je longeais les théâtres...
avril 1993
Le Matricule des Anges n°4