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auteur René Frégni

A propos

A l'ombre de la vie Le nouveau roman de René Frégni décrit un univers qu’il connaît bien : la prison. Où se pdent les hommes oscille entre révolte et tendresse. Avec bonheur. À Manosque où vit René Frégni, le soleil possède la même chaleur que celui qui dénude les bras des femmes dans son nouveau roman. Un soleil qui gonfle le cœur des détenus des prisons d’Aix et des Baumettes à Marseille et du centre de détention de Salon-de-Provence où l’écrivain anime des ateliers d’écriture. Tout comme Ralph, le narrateur du livre. Une visite dilettante du centre ville de Manosque dévoile un café-restaurant au nom charmant, le Piment-café et une crêperie, La Barbotine où, dans le roman, « les pigeons font claquer le ciel de bourrasques d’argent et les femmes tournent...
décembre 1996
Le Matricule des Anges n°18

Ouvrages chroniqués

Carnets de prison ou L’oubli des rivières
de René Frégni
2019
Elles sont folles les villes. Elles te happent, t’empastèguent ! Si la Méditerranée a inventé la tragédie, Marseille a le génie de la camoufler derrière la bonhomie, la verve, la galéjade, l’hypertrophie… Stéréotypes populaires agaçants pour certains, pas pour ses minots. Enfant des rues, René Frégni en a reçu la lumière, la grâce, la force lui permettant de célébrer la beauté du monde. Lorsque son éditeur lui propose de pousser un cri (aux côtés d’Erri de Luca, Pierre Bergounioux ou Danièle Sallenave dans la nouvelle collection « Tracts »), Frégni se remémore tous ceux proférés contre...
Dominique Aussenac
mars 2020
Le Matricule des Anges n°211
Les Vivants au prix des morts
de René Frégni
2017
Écorché vif et sensuel comme jamais, l’écrivain signe Les Vivants au prix des morts. À la fois récit intime et thriller frénétique. Suis-je trop naïf ? Trop sensible ? Fragile ? Suis-je trop romanesque ? Trop impulsif ? Imprudent ? Est-ce René Frégni qui s’interroge ? Ou est-ce son personnage ? ce narrateur qui lui ressemble comme deux gouttes d’eau… Prince de l’intime (du récit) et roi de l’entourloupe (de la fiction), René Frégni a inventé le style René Frégni, un concentré de vérités et de mensonges, de lumières et de noirceurs. Et si ce double jeu n’était qu’une manière de revendiquer la littérature, d’y infiltrer de la vie, de l’authenticité, de distiller un peu de piment… de poésie ? Depuis une trentaine...
Martine Laval
mai 2017
Le Matricule des Anges n°183
Le Voleur d’innocence
de René Frégni
A lire le quatrième roman de l’auteur des Chemins noirs, on ne peut s’empêcher de penser que ce livre pourrait être l’enfant bâtard des romans de Cavanna et de ceux de Céline. C’est dire que la gouaille, cinglante et libératrice, illumine une histoire assombrie de misère. Le Voleur d’innocence est le récit d’un minot de Marseille, issu d’une famille très modeste « mon père (…) la pauvreté c’est son vice ». On lit Frégni pour sa capacité à se révolter, (« Ça n’a l’air de rien la couleur des yeux, ça suffit pour vous faire 6 ans prince ou maraudeur. ») contre l’école, contre les riches,...
Thierry Guichard
octobre 1994
Le Matricule des Anges n°9