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Théâtre Gagarin way

novembre 2002 | Le Matricule des Anges n°41 | par Laurence Cazaux

Je voulais écrire quelque chose sur le XXe siècle et je voulais écrire quelque chose sur l’économie… et c’est devenue Gagarin Way. Une comédie« , explique l’auteur dans la préface. Mais une comédie à l’humour très noir. Deux employés d’usine, Eddie et Gary décident de kidnapper et de tuer un responsable économique pour protester contre la mondialisation. La violence pour essayer de redonner du sens à leur vie. Mais au fur et à mesure du déroulement de la pièce, tout rate lamentablement. Ils voulaient kidnapper un Japonais, ils se retrouvent avec quelqu’un du même village qu’eux. En essayant de lui expliquer pourquoi ils veulent le tuer, ils s’aperçoivent que leurs arguments ne tiennent pas le choc, que l’ennemi n’a pas de visage ou du moins pas celui de leur otage avec qui ils sympathisent, »un des principaux risques du métier de kidnappeur« selon Eddie. La pièce se termine malgré tout par des meurtres. Avec cette dernière réplique lapidaire : »On ferait bien de se grouiller… Faudrait pas qu’on soit en retard (au boulot, ndlr), quand même".

Gagarin Way
Gregory Burke
Traduit de l’écossais
par Dominique Hollier
Les Solitaires Intempestifs
120 pages, 9

Gagarin way Par Laurence Cazaux
Le Matricule des Anges n°41 , novembre 2002.
LMDA PDF n°41
4,00