Notre conviction, c’est que la littérature, quelles que soient son originalité, sa complexité, peut (et doit) être présentée le plus simplement et fidèlement possible au public qu’il soit constitué de grands lecteurs ou de lecteurs occasionnels. La littérature nous nourrit. Elle irrigue le rapport que l’on a au monde qui nous entoure, à l’Histoire, au passé comme à l’avenir. Elle nous ouvre à une connaissance de notre nature humaine où la pensée se voit épaulée parfois par l’émotion, le sentiment.

Notre ambition, c’est de mettre aussi en Une d’un magazine des auteurs méconnus afin qu’ils le soient un peu moins.

Notre magazine est sans publicité. L’essentiel de ses ressources financières, Le Matricule des Anges le trouve dans les ventes au numéro et les abonnements. La seule aide qui est apportée nous vient du Centre National du Livre.

Notre magazine est soucieux des règles déontologiques. Quand un membre de la rédaction publie un livre, il se voit interdit de recenser tout livre qui paraîtra chez son éditeur.

Le Matricule des Anges n’a pas assez d’étages pour pratiquer le renvoi d’ascenseur.