La lettre de diffusion

Votre panier

Le panier est vide.

Nous contacter

Le Matricule des Anges
ZA Loup à Loup 83570 Cotignac
tel ‭04 94 80 99 64‬
lmda@lmda.net

Connectez-vous avec les anges

Vous n'êtes actuellement pas identifié. Pour pouvoir commander un numéro, un abonnement ou bien profiter, en tant qu'abonné, des archives en ligne, vous devez vous connecter avec votre compte.

Retrouver un compte

Vous avez un compte mais vous ne souvenez plus du mot de passe ? Vous êtes abonné-e mais vous vous connectez pour la première fois ? Vous avez déjà créé un compte, peut-être, vous ne savez plus trop ?

Créer un nouveau compte

Vous inscrire sur ce site Identifiants personnels

Indiquez ici votre nom et votre adresse email. Votre identifiant personnel vous parviendra rapidement, par courrier électronique.

Informations personnelles

Pas encore de compte?
Soyez un ange, abonnez-vous!

Vous ne savez pas comment vous connecter?

auteur Céline Minard

A propos

D'air, d'allure et de gueule En huit ans et autant de livres, Céline Minard s’est révélée l’enfant terrible de la littérature française contemporaine. Sans manœuvres ostentatoire ou télévisuelle, elle a secoué les puces de la création ronronnante et sommé ses contemporains d’ajuster leurs bésicles. Pour les lecteurs intéressés par ce qui nous importe ici, la littérature qui marque, qui tache, qui bouleverse et qui meut, pour les fictionneurs qui manifestent l’ambition de pousser leur art plus loin, Céline Minard est synonyme de branle-bas des neurones. Elle nous met tous au pied du mur. C’est à un vaste tournoi littéraire que convoque sa seule présence sur les étals. Et le jeu du tournoiement lui sied, il faut dire, fut-ce au sens médiéval du terme, car elle ne craint aucun affrontement. Assurée qu’elle est de pouvoir casser tous ses jouets l’un après l’autre, elle porte plus loin...
septembre 2011
Le Matricule des Anges n°126

Des sabres et du sang

Céline Minard dépasse encore une fois les bornes : son roman de chevalerie techno-médiéval aux allures de manga donne à la modernité littéraire du lustre et de la joye. Selon toute probabilité, ceux qui ont déjà abordé aux rives de la Bastard Battle de Céline Minard savent que le livre-surprise de la rentrée ne peut-être que celui-ci. Pour peu qu’ils sachent se laisser bousculer, apprécier (toutes) les audaces et rire aux éclats. Mais après avoir lu R. (Comp’act, 2004), La Manadologie (MF, 2005) et Le Dernier Monde (Denoël, 2006), ses trois précédents...
octobre 2008
Le Matricule des Anges n°97

Les grandes foulées

Céline Minard déboule avec un roman d’une originalité estomaquante. « R. » ou les marches solitaires du petit-neveu de Rousseau. Céline Minard est bluffante. Son premier roman, R., abordé innocemment se révèle une œuvre forte. On lève un sourcil confondu. Où nous mène-t-elle donc ? Diablement équipée, Céline Minard organise une course en terre dauphinoise dont, évidemment, elle est le guide démiurgique (à tendance facétieuse). Il fallait un cicerone pour pénétrer son pays d’ « incroyables lanterneries (…) certainement...
mai 2004
Le Matricule des Anges n°53

Ouvrages chroniqués

Plasmas
de Céline Minard
2021
Après les grands incendies qui ont ravagé la Terre, Céline Minard recompose des vies qui seraient encore viables. Anthropologie, génétique, zoologie, même les Bjorgs nous étudient. Céline Minard n’a qu’une habitude, celle de n’en avoir pas. Ses livres se succèdent et ne se ressemblent pas. Ni de sujet, ni de structure, ni, souvent, de langue. Et cette fois-ci, même si ses Plasmas abordent une ère post-apocalyptique qui nous pend au nez, elle n’est pas envisagée comme l’était la Terre sans humains du Dernier Monde (Denoël, 2007 ; Folio, 2009) où évoluait l’astronaute solitaire Jaime Roiq Stevens. Dans les dix nouvelles de science-fiction qui composent ce nouveau livre, c’est d’une planète ruinée mais habitée de papillons, de poulpes, d’un toucan toco, d’un client...
Éric Dussert
septembre 2021
Le Matricule des Anges n°226
Bacchantes
de Céline Minard
2019
On n’est jamais frustré dans son attente du « prochain » Céline Minard : avant même d’en avoir vu le bout du nez on sait pertinemment qu’il aura une autre saveur que le précédent. Et l’on sait aussi qu’il saura retenir toute notre attention, quelle que soit sa longueur. Un livre long suivi d’un court, c’est la méthode Minard qui désormais nous est familière. Et cette fois, après Le Grand Jeu (Rivages, 2016) qui nous portait haut en plans alpestres, c’est un moment court qui nous porte vers les tréfonds. Sur le mode du récit de prise d’otages comme on en voit dans les séries...
Éric Dussert
janvier 2019
Le Matricule des Anges n°199
Le Grand Jeu
de Céline Minard
2016
Organisant son ermitage en haute montagne, une femme rencontre une marmotte et une nonne. Avec Le Grand Jeu, rester zen il faut. On peut sans doute choisir sa voie pour atteindre la bibliographie de Céline Minard, on ne peut plus la contourner. Mais il vaut mieux annoncer d’emblée que malgré son titre, Le Grand Jeu n’est pas une évocation du groupe rémois des phrères simplistes. À moins qu’un Mont Analogue, le chef-d’œuvre de René Daumal, ne se profile dans le panorama montagneux qui sert de décor à cette nouvelle robinsonnade, ce qui reste à voir. Ce nouveau Minard, toujours prenant et surprenant, voit une femme d’aujourd’hui, un peu virile, méticuleuse en diable et volontaire à un point peu commun, organiser son...
Éric Dussert
septembre 2016
Le Matricule des Anges n°176
Le Dernier monde
de Céline Minard
2007
Céline Minard confirme son étonnant brio : le dernier homme revient sur la terre dépeuplée et déroule le flot des histoires de l’Homme. Tout en faisant le ménage. Céline Minard n’est plus une inconnue. Remarquée lors de la parution de R. (Comp’act, 2004), elle a depuis lors fourni un deuxième roman, La Manadologie (MF, 2005), déclinaison SF des grands principes de la philosophie des sciences, puis l’un des trois compléments inédits apportés à Albine, l’inachevé de George Sand, en compagnie de Daniel Arsand et de Sophie Loizeau (Comp’act, 2006). Avec Le Dernier Monde, il apparaît qu’elle a décidé d’écarter très largement ses ailes en proposant à nouveau autre chose à la librairie contemporaine. Si R. et La Manadologie dénotaient déjà une forte...
Éric Dussert
janvier 2007
Le Matricule des Anges n°79