auteur Edward St Aubyn
Ouvrages chroniqués
Le Goût de la mère
de
Edward St Aubyn
2007
Entre seringues et paillettes, l’odyssée en deux opus d’un aristocrate nourri à la soupe épaisse de la décadence, par Edward St Aubyn.
Si l’on tentait de réunir mentalement ce que l’on sait de pire sur l’aristocratie thatchérienne, l’addiction aux drogues dures, la société contemporaine américaine, le sadisme en général et la pédophilie incestueuse en particulier, on serait encore dans l’ébauche, loin du moulage au plomb fondu que nous propose Edward St Aubyn. Évidemment, ce n’est que de la littérature. Et le fond autobiographique n’est pas non plus synonyme de véracité. Mais c’en est un gage, et un gage touchant de la part d’un auteur qui, s’il est réellement le Patrick Melrose de la trilogie, s’en est plutôt bien tiré....
Un peu d’espoir
de
Edward St Aubyn
2008
Entre seringues et paillettes, l’odyssée en deux opus d’un aristocrate nourri à la soupe épaisse de la décadence, par Edward St Aubyn.
Si l’on tentait de réunir mentalement ce que l’on sait de pire sur l’aristocratie thatchérienne, l’addiction aux drogues dures, la société contemporaine américaine, le sadisme en général et la pédophilie incestueuse en particulier, on serait encore dans l’ébauche, loin du moulage au plomb fondu que nous propose Edward St Aubyn. Évidemment, ce n’est que de la littérature. Et le fond autobiographique n’est pas non plus synonyme de véracité. Mais c’en est un gage, et un gage touchant de la part d’un auteur qui, s’il est réellement le Patrick Melrose de la trilogie, s’en est plutôt bien tiré....