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auteur Mia Couto

A propos

Soleils édentés Roman après roman, l’écrivain mozambicain Mia Couto réarpente une langue. Bigarrée, saugrenue, épique. À l’instar des recommandations portées sur les paquets de cigarettes, les ouvrages de Mia Couto devraient afficher des avertissements du type : « À partir de cette ligne, vous quittez l’intangible », « Ce voyage vous est proposé sans retour ni recours » ou encore « Nos univers ne reconnaissent que des parallèles ». Dans Terre somnambule (Albin Michel), le premier de ses douze ouvrages publié en 1994, le monde s’enfuit par delà le temps et l’espace tandis que les humains dorment. Les casques bleus du Dernier Vol du flamant (Chandeigne, 2009) explosent mystérieusement. Un des deux enfants...
avril 2013
Le Matricule des Anges n°142

Ouvrages chroniqués

Le Cartographe des absences
de Mia Couto
2022
Retournant sur les chemins de son enfance, l’écrivain mozambicain raconte en écho les luttes de l’indépendance de l’ancienne colonie portugaise. Mia Couto est né en 1955 au Mozambique, au sud-est de l’Afrique, sur les côtes de l’océan Indien : il a 20 ans quand le pays proclame son indépendance, en 1975, mettant fin à l’oppression coloniale. La présence portugaise, ancienne – les premiers comptoirs ont été établis dès le milieu du XVe siècle – ne s’efface pas complètement, toutefois. La langue portugaise, langue officielle du Mozambique, est celle dans laquelle écrit Mia Couto. C’est la langue de son père ; celle, également, des romanciers et poètes brésiliens qui ont, parmi d’autres, marqué son enfance. Dans l’œuvre de cet...
Catherine Simon
septembre 2022
Le Matricule des Anges n°236
Les Sables de l’empereur
de Mia Couto
2020
Avec Les Sables de l’empereur, le romancier mozambicain raconte les infinis méandres de la guerre coloniale en Afrique de l’Est. À la fin du XIXe siècle, le Portugal, qui s’est lancé dans l’aventure coloniale, connaît de sérieux déboires. Au Mozambique, les Africains font de la résistance. En particulier l’État de Gaza, le deuxième plus grand empire du continent, dirigé par l’empereur Ngungunyane. La rébellion est telle que la couronne portugaise doit relever le défi : soit elle démontre qu’elle domine « ses » terres africaines, soit elle n’y parvient pas, et, la nature coloniale ayant horreur du vide, les autres puissances européennes prendront la place. En décembre 1895, une petite troupe de soldats portugais...
Catherine Simon
janvier 2020
Le Matricule des Anges n°209
Le Dernier vol du flamand
de Mia Couto
2009
Dans une enquête policière crue, hilarante et mélancolique, Mia Couto s’inquiète de l’évolution de son pays : le Mozambique. Au crépuscule, la mère du narrateur susurrait un chant de son invention. Il y était question de flamants. « Pour elle, c’étaient les flamants qui poussaient le soleil afin que le jour se lève de l’autre côté du monde. » Pour son père, Sulplicio, le flamant représentait une douloureuse épreuve enfantine. Alors que son propre père lui apprenait à capturer l’échassier pour le manger, l’enfant refusa de participer au carnage. Deux façons d’appréhender le flamant, deux façons d’appréhender le monde. Le père et la mère parlent au narrateur. Mais sont-ils morts, sont-ils vivants ? Où commence le...
Dominique Aussenac
juillet 2009
Le Matricule des Anges n°105
Les Baleines de Quissico
de Mia Couto
2004
En irisant d’éclats de rire et de milliers de couleurs le dénuement du petit peuple, Mia Couto oscille entre gravité crépusculaire et chemin d’espérance. Chaque homme est une île, chaque homme est une race. En fait « toute personne est à elle seule une humanité », affirme Mia Couto. Et ce « blanc de pierre » (expression qualifiant un blanc d’origine portugaise) s’y connaît en humanité et en inhumanité. Son pays, le Mozambique, dans lequel il naquit en 1955, mosaïque d’ethnies, d’émigrés, de réfugiés, devint un des principaux champs de massacre de la guerre froide. De la colonisation portugaise (il lutta pour l’indépendance), il reste la langue nationale. Une langue minoritaire qui surnage au milieu de quarante idiomes. Une langue que...
Dominique Aussenac
février 2005
Le Matricule des Anges n°60