La lettre de diffusion

Votre panier

Le panier est vide.

Nous contacter

Le Matricule des Anges
ZA Loup à Loup 83570 Cotignac
tel ‭04 94 80 99 64‬
lmda@lmda.net

Connectez-vous avec les anges

Vous n'êtes actuellement pas identifié. Pour pouvoir commander un numéro, un abonnement ou bien profiter, en tant qu'abonné, des archives en ligne, vous devez vous connecter avec votre compte.

Retrouver un compte

Vous avez un compte mais vous ne souvenez plus du mot de passe ? Vous êtes abonné-e mais vous vous connectez pour la première fois ? Vous avez déjà créé un compte, peut-être, vous ne savez plus trop ?

Créer un nouveau compte

Vous inscrire sur ce site Identifiants personnels

Indiquez ici votre nom et votre adresse email. Votre identifiant personnel vous parviendra rapidement, par courrier électronique.

Informations personnelles

Pas encore de compte?
Soyez un ange, abonnez-vous!

Vous ne savez pas comment vous connecter?

auteur Roland Jaccard

Ouvrages chroniqués

Le Rire du Diable
de Roland Jaccard
Peut-on écrire un roman érotique lorsqu’on est un nihiliste narcissique ? A priori, l’érotisme nécessite l’observation d’autres corps que le sien et le désir, jusqu’à preuve du contraire, ne souffre pas l’absence d’objet, le vide. Les éditions Zulma, qui ont pris l’habitude de solliciter les bons écrivains d’aujourd’hui pour qu’ils contribuent à l’enrichissement de leur collection « Vierge folle », font les frais avec Roland Jaccard d’un pari perdu. Perdu et gagné tout à la fois car si Le Rire du diable n’est pas un livre érotique, c’est tout de même un livre fort excitant. ...
décembre 1994
Le Matricule des Anges n°6
Journal d’un homme perdu
de Roland Jaccard
Roland Jaccard plonge dans le journal intime comme dans un miroir, pour s’y contempler. Confession d’un autolâtre. Je l’avais rencontrée à Paris au cours de son voyage de noces. Elle était prête, dès la première nuit, à quitter son mari. Je l’en dissuadai. De retour au Japon, elle a divorcé et s’est mise à traduire mes livres. Un jour, au François Coppée, elle m’avait confié : « J’aimerais qu’il y ait à Tokyo un salon de thé qui porte ton nom ». » Ces premières phrases du Journal d’un homme perdu passeraient sans doute inaperçues si le volume ne corroborait à chaque page la tonalité annoncée au début : c’est bien à des exercices d’autolâtrie que Roland Jaccard s’abandonne ici. La modestie, en effet,...
Didier Garcia
novembre 1995
Le Matricule des Anges n°14