auteur Alina Reyes
Ouvrage chroniqué
Quand tu aimes il faut partir
de
Alina Reyes
Le dernier roman d’Alina Reyes est très mince, 91 pages, mais on a le sentiment qu’avec un peu de volonté, l’auteur du Boucher (prix Pierre Louÿs en 1987) aurait pu étendre son récit à l’infini, tant son histoire - une femme se penche sur son passé - est d’une déconcertante mièvrerie peuplée de truismes sans fond et de clichés à faire sourire les plus mélancoliques. Son écriture est pourtant sobre, élégante, au goût du jour dirait-on, et alors ?
Alina Reyes n’a malheureusement rien à mettre dedans, seulement une litanie de bons sentiments d’écolière étouffée par l "émotion. Cet ouvrage...