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auteur Aliona Gloukhova

Ouvrages chroniqués

Nos corps lumineux
de Aliona Gloukhova
2023
Comment retrouver son identité après une séparation. troisième opus d’Aliona Gloukhova. Aliona Gloukhova, née en 1984 à Minsk mais écrivant en français, on l’a découverte en 2018 avec Dans l’eau je suis chez moi, suivi deux ans plus tard par un autre roman, De l’autre côté de la peau, dont nous avions dit ici même le plus grand bien. La voilà qui revient, toujours chez Verticales, avec un livre écrit, précisément, dans la… verticalité douloureuse. « Le désamour arrive subitement comme une chute, (…) ce n’est pas une opposition à l’amour, c’est sa suite possible, tendre. » Le roman aurait d’ailleurs pu s’intituler ainsi, Comme une chute. Il y est question d’une séparation,...
Anthony Dufraisse
avril 2023
Le Matricule des Anges n°242
De l’autre côté de la peau
de Aliona Gloukhova
2020
Enquête mémorielle aux lignes fuyantes, le deuxième roman d’Aliona Gloukhova est une profonde réflexion sur la notion d’appartenance. La narratrice comprenant qu’elle est pleinement impliquée dans l’histoire qu’elle raconte : « Ce qui était au début pour moi une tentative d’organiser des informations disparates concernant les mois qu’Ana a passés à Saint-Pétersbourg s’est vite transformé en esquisse d’histoire. Pour parler d’Ana il fallait être impliquée, Ana n’aurait pas supporté un regard neutre et désintéressé. » Ailleurs, le constat d’implication totale se confirme : « Je n’ai jamais connu Ana, mais je raconte son histoire, comme si Ana était mon amie. » Voilà deux extraits qui laissent à penser que cette Ana est le...
Anthony Dufraisse
juin 2020
Le Matricule des Anges n°214
Dans l’eau je suis chez moi
de Aliona Gloukhova
2018
Abandonner sa langue maternelle, choisir le français pour écrire l’indicible, et ainsi donner vie au père enfui. Un premier texte tonique. Les pères, c’est pas marrant. Un jour, ils disparaissent, ni vu ni connu, ils sont ailleurs, peut-être même ils meurent, allez savoir. Les pères laissent un grand vide, du silence ou des questions à l’infini, c’est du pareil au même. Les pères donnent naissance à des fractures, genre irrémédiable, truc qui ne cicatrise pas, et ils s’en foutent. Ils font de leurs gosses des canards boiteux, en perpétuel déséquilibre, et on devrait les remercier, ces pères. Car ils donnent aussi naissance à une écriture. Aliona Gloukhova a 11 ans lorsque Youri, son père, disparaît en mer. Vingt ans après,...
Martine Laval
janvier 2018
Le Matricule des Anges n°189