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auteur Ariane Dreyfus

A propos

Des histoires de gestes dansés "Oserais-je sans la poésie ?", écrit-elle. Question simple et exigeante. Ariane Dreyfus déplace les questions du désir. Ses livres parlent de respirer quand on étouffe, d’aimer pour de vrai, et sans détour, sans cinéma. Née en 1958 au Raincy, enseignante, Ariane Dreyfus est l’auteur de sept livres, sans compter les deux à paraître (La Bouche de quelqu’un, Tarabuste ; La Belle vitesse, Le Dé bleu). Elle ressemble quelque peu à Emily Dickinson par cette fragilité mêlée de fermeté qu’on imagine chez la poétesse américaine. C’est d’ailleurs l’une de ses grandes références, par le lien que l’aînée a maintenu entre l’écriture et la vie, la figure du Dieu et la terre. On pourrait aussi évoquer, pour approcher l’univers d’Ariane Dreyfus, certains films de Bergman, si le western n’était pas le genre le plus...
décembre 2001
Le Matricule des Anges n°37

Ouvrages chroniqués

Le Dernier Livre des enfants
de Ariane Dreyfus
2016
La poésie d’Ariane Dreyfus est une célébration de la vie. Il existe une écriture, note János Pilinszky, « commune au hasard et à la douleur ». Cela même se lit en exergue du nouvel ouvrage d’Ariane Dreyfus. L’on retrouve ainsi les « sources, si vives », que sont pour l’auteure la littérature, le cinéma, la photographie, ou encore la danse. Scènes et personnages prennent place dans le cadre d’un monde retraduit à l’aune du langage. À cela vient se greffer un souffle venu du désir d’empathie. Dans un texte intitulé « Un chantier de poème », Ariane Dreyfus explicite les étapes d’un remarquable travail de patience et d’exigence : chaque mot ainsi...
Emmanuelle Rodrigues
février 2017
Le Matricule des Anges n°180
La Belle Vitesse Illustration(s) de Valérie Linder
de Ariane Dreyfus
La poésie c’est ouvrir une fenêtre. Pas besoin de tout connaître du paysage avant de le contempler. C’est déjà de l’oxygène de le découvrir. La poésie d’Ariane Dreyfus n’est pas toujours simple pour les adultes qui veulent à tout prix mettre des noms sur les paysages. Pour les enfants, elle doit avoir un goût d’évidence. Autant dire d’interrogations. Dans ses silences, elle appelle à construire des histoires. Il y a deux sortes d’évidences dans La Belle Vitesse : les claires comme « Un coussin devant,/ un oreiller derrière,/ Paul grossit » et les obscures comme « Le lit est gonflé de...
Thierry Guichard
juin 2002
Le Matricule des Anges n°39
Les Miettes de décembre
de Ariane Dreyfus
Les Miettes de décembre pourrait être un roman. On suivrait le parcours de Catherine, la fille, de sa naissance à l’âge adulte, à travers les yeux d’Émilie, la mère. Mais Ariane Dreyfus, née en 1958, dont c’est le troisième ouvrage, déchire la narration, transformant le roman potentiel en une suite de petits éclats, proches du poème. Le texte est en miette et le silence, entre chaque bribe, installe la distance nécessaire. Le poète garde juste ce qu’il faut. On prend part au désordre, qui tient grâce aux blancs ménagés entre chaque texte. Courts dialogues, assez proches des derniers...
Benoît Broyart
juillet 1997
Le Matricule des Anges n°20