auteur Celou Arasco
A propos
Celou Arasco, Pau nue
Quatre ans avant Calaferte, le futur lauréat du prix Fénéon se coltine la grisaille des enfants pauvres.
Sept ans seulement après son lancement, la maison d’édition de René Julliard s’épanouissait. En 1948 son catalogue portait les succès d’Elisabeth Barbier (Les Gens de Mogador), de Maurice Chevalier (Ma route et mes chansons), de Charles Jackson (Le Poison) ainsi que les livres d’Odette de Puigaudeau, Raymond Dumay ou Théodore Monod qui vibraient aux cimes des palmarès de ventes. La marque claquait dans les vitrines, s’incrustant dans les esprits avec une allure dominante qui culminera en 1950 avec Le Salaire de la peur de Georges Arnaud dont on sait la portée, et, deux ans plus tard, avec...