La lettre de diffusion

Votre panier

Le panier est vide.

Nous contacter

Le Matricule des Anges
ZA Loup à Loup 83570 Cotignac
tel ‭04 94 80 99 64‬
lmda@lmda.net

Connectez-vous avec les anges

Vous n'êtes actuellement pas identifié. Pour pouvoir commander un numéro, un abonnement ou bien profiter, en tant qu'abonné, des archives en ligne, vous devez vous connecter avec votre compte.

Retrouver un compte

Vous avez un compte mais vous ne souvenez plus du mot de passe ? Vous êtes abonné-e mais vous vous connectez pour la première fois ? Vous avez déjà créé un compte, peut-être, vous ne savez plus trop ?

Créer un nouveau compte

Vous inscrire sur ce site Identifiants personnels

Indiquez ici votre nom et votre adresse email. Votre identifiant personnel vous parviendra rapidement, par courrier électronique.

Informations personnelles

Pas encore de compte?
Soyez un ange, abonnez-vous!

Vous ne savez pas comment vous connecter?

auteur Claude Farrère

Ouvrage chroniqué

Fumée d’opium
de Claude Farrère
2002
Favorisé par l’extension coloniale, l’opium fut entre 1880 et 1914 une drogue très répandue ainsi qu’une source d’inspiration incomparable. Hallucinant. On n’ose imaginer ce que les Français des années 1880-1914 auraient pensé de l’actuelle campagne en faveur du cannabis. Ses maigres clapotis les auraient amusés, eux qui pouvaient s’en payer des tranches en toute tranquillité avec l’absinthe, la morphine, le haschich, l’éther ou l’opium, passe-temps fameux et passablement redoutables. Puis vint la guerre qui accorda d’autres motifs d’évasion massive et de tourments pénétrants. L’absinthe fut interdite en 1915 -Pontarlier s’en plaint encore-, la morphine avait passé de mode ainsi que le dawamesk, ils furent remplacés par le chandoo...
Éric Dussert
mars 2002
Le Matricule des Anges n°38