auteur Deborah Levy
Ouvrages chroniqués
Etat des lieux
de
Deborah Levy
2021
Le Dernier volet de la trilogie autobiographique de Deborah Levy marque les retrouvailles avec son style irrévérencieux et éclatant.
C’est avec impatience que nous l’attendions, ce troisième épisode d’un cycle qualifié de « living autobiography » ou d’« autobiographie en mouvement » par Deborah Levy, amorcé en 2013 avec Ce que je ne veux pas savoir. Elle y revenait sur son enfance en Afrique du Sud, marquée par l’emprisonnement de son père qui combattait l’apartheid et sur son adolescence au Royaume-Uni, pays dont elle ignorait jusque-là tout. Le deuxième tome, Le Coût de la vie (paru en français cette même année 2020), exposait son quotidien de quinquagénaire fraîchement divorcée, confrontée à l’explosion récente de...
Le Coût de la vie
de
Deborah Levy
2020
En deux opus, les mémoires de l’écrivaine britannique sont une mine d’humour angoissé, d’anecdotes incandescentes, de résistance féministe.
Ce que je ne veux pas savoir, premier volet de la trilogie autobiographique de Deborah Levy, romancière, dramaturge et poète, s’ouvre sur un constat désespéré. « Ce printemps-là, alors que ma vie était très compliquée, que je me rebellais contre mon sort et que je ne voyais tout bonnement pas vers quoi tendre, ce fut, semblait-il, sur les escalators de gares que je pleurais le plus souvent ». Elle en entame la rédaction peu après son divorce, dans la cabane de jardin d’une amie nonagénaire, alors que les vingt dernières années de sa vie familiale viennent de voler en éclats. Les premières...
Ce que je ne veux pas savoir
de
Deborah Levy
2020
En deux opus, les mémoires de l’écrivaine britannique sont une mine d’humour angoissé, d’anecdotes incandescentes, de résistance féministe.
Ce que je ne veux pas savoir, premier volet de la trilogie autobiographique de Deborah Levy, romancière, dramaturge et poète, s’ouvre sur un constat désespéré. « Ce printemps-là, alors que ma vie était très compliquée, que je me rebellais contre mon sort et que je ne voyais tout bonnement pas vers quoi tendre, ce fut, semblait-il, sur les escalators de gares que je pleurais le plus souvent ». Elle en entame la rédaction peu après son divorce, dans la cabane de jardin d’une amie nonagénaire, alors que les vingt dernières années de sa vie familiale viennent de voler en éclats. Les premières...