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auteur Géza Csath

Ouvrages chroniqués

Dépendances
de Géza Csath
2009
Graphomane, érotomane et morphinomane, Géza Csáth (1887-1919) mit ses passions mortifères à nu dans un journal sulfureux. La maxime « Et s’il avait mérité sa vie ? », question rhétorique, ô combien morale et indigente, que Sartre eut l’outrecuidance d’énoncer dans son essai sur Baudelaire, ne saurait servir d’alibi psycho-existentiel aux lecteurs de Dépendances du Hongrois Géza Csáth. Quelle que soit la forme qu’elles revêtent - lettres, aphorismes ou journaux intimes -, les confessions d’un auteur n’ont une réelle portée significative qu’au regard de son œuvre. Si Mon cœur mis à nu corrobore le génie contradictoire d’un poète qui avoue qu’il aura jusqu’au bout le « cynisme absolu de (son) désir »,...
Jérôme Goude
octobre 2009
Le Matricule des Anges n°107
Le Jardin du mage
de Géza Csath
2006
Oscillant entre cruauté clinique et onirisme insidieux, les nouvelles du Hongrois Géza Csáth sont comme d’intenses sismographies de l’inconscient. À l’aube du XXe siècle, Budapest est l’une des grandes capitales du renouveau culturel européen. La revue littéraire avant-gardiste Nyugat (Occident), créée en 1908, accueille maints auteurs dont le très jeune Géza Csáth (1887-1919), plus connu en tant que médecin psychiatre sous son vrai nom József Brenner. Exhorté par son cousin le poète et romancier Dezsó Kosztolányi, cosmopolite et polyvalent, Csáth publie son premier écrit à 18 ans. Le Jardin du mage rassemble des nouvelles dans lesquelles geste littéraire et psychopathologie clinique interfèrent subtilement. Les éditions de...
Jérôme Goude
novembre 2006
Le Matricule des Anges n°78