auteur Hermann Ungar
Ouvrages chroniqués
Les Hommes mutilés
de
Hermann Ungar
2005
Stefan Zweig trouvait ce roman rebutant, Thomas Mann le portait aux nues. Hermann Ungar, écrivain tchèque, nous abîme dans les miasmes d’une humanité tyrannisée par des désirs terrifiants.
Quand Hermann Ungar succombe à une crise d’appendicite aiguë le 29 octobre 1929, à seulement 36 ans, la littérature avait pourtant fini par devenir une nécessité vitale pour ce fils d’une famille d’industriels juifs, grièvement blessé durant la Première Guerre mondiale, et lancé plus tôt dans une carrière diplomatique. Peu considéré par les représentants du milieu littéraire pragois comme Max Brod ou Willy Haas, il vécut à Berlin et y fréquenta Joseph Roth, Alfred Döblin, et Franz Werfel. Auteur principalement de nouvelles, Enfants et meurtriers (1920), et de deux romans, Les Hommes...
Enfants et meurtriers
de
Hermann Ungar
Tchèque de langue allemande et contemporain de Kafka, Hermann Ungar est un maître des destinées sordides. Nouvelle traduction de ses Enfants et meurtriers aux éditons Ombres.
Depuis 1987 et à intervalles réguliers, les éditions Ombres nous donnent des nouvelles de Hermann Ungar (1893-1929), des nouvelles jamais très longues, souvent sous forme de récit, mais que l’on se jure à chaque envoi de ne plus vouloir recevoir. Cet univers malsain, glauque, peuplé d’avortons humiliés par l’existence, de frustrés sexuels, de meurtriers miséreux, de destinées persécutées et cruelles effraie le lecteur bien portant et le renvoie systématiquement à un troublant acte voyeuriste, voire masochiste. Mais la tentation est grande et par faiblesse, on y succombe à tous les coups....
La Tonnelle
de
Hermann Ungar
1993
Tchèque de langue allemande et contemporain de Kafka, Hermann Ungar est un maître des destinées sordides. Nouvelle traduction de ses Enfants et meurtriers aux éditons Ombres.
Depuis 1987 et à intervalles réguliers, les éditions Ombres nous donnent des nouvelles de Hermann Ungar (1893-1929), des nouvelles jamais très longues, souvent sous forme de récit, mais que l’on se jure à chaque envoi de ne plus vouloir recevoir. Cet univers malsain, glauque, peuplé d’avortons humiliés par l’existence, de frustrés sexuels, de meurtriers miséreux, de destinées persécutées et cruelles effraie le lecteur bien portant et le renvoie systématiquement à un troublant acte voyeuriste, voire masochiste. Mais la tentation est grande et par faiblesse, on y succombe à tous les coups....