La lettre de diffusion

Votre panier

Le panier est vide.

Nous contacter

Le Matricule des Anges
ZA Loup à Loup 83570 Cotignac
tel ‭04 94 80 99 64‬
lmda@lmda.net

Connectez-vous avec les anges

Vous n'êtes actuellement pas identifié. Pour pouvoir commander un numéro, un abonnement ou bien profiter, en tant qu'abonné, des archives en ligne, vous devez vous connecter avec votre compte.

Retrouver un compte

Vous avez un compte mais vous ne souvenez plus du mot de passe ? Vous êtes abonné-e mais vous vous connectez pour la première fois ? Vous avez déjà créé un compte, peut-être, vous ne savez plus trop ?

Créer un nouveau compte

Vous inscrire sur ce site Identifiants personnels

Indiquez ici votre nom et votre adresse email. Votre identifiant personnel vous parviendra rapidement, par courrier électronique.

Informations personnelles

Pas encore de compte?
Soyez un ange, abonnez-vous!

Vous ne savez pas comment vous connecter?

auteur Jacques Izoard

Ouvrages chroniqués

Dormir sept ans
de Jacques Izoard
Auteur de plusieurs dizaines de recueils, le Belge Jacques Izoard a composé un fil vertical de strophes courtes (six ou sept vers) qui s’enchaînent en un long poème. Une poésie qui se dévoile dans une évidente simplicité pour le lecteur, concise et cristalline : « Nous aurions voulu/ tout quitter :/ le coquelicot, l’araignée ». Quelque chose comme le filet d’une rivière à quoi s’attachent des souvenirs, des rêves et des colères. Ou plutôt des rages, qui disent mieux le désir. La simplicité est peut-être l’expression de la réussite, d’une adéquation du langage avec le coeur. Elle est liée...
Thierry Guichard
août 2001
Le Matricule des Anges n°35
Le Bleu et la poussière
de Jacques Izoard
Entre le bonheur bleu de l’enfance et la poussière d’une vie qui s’effondre, Jacques Izoard sème comme des petits cailloux ses courts poèmes -de quatre à dix vers- pour retrouver le chemin dans un paysage en ruine. Et peut-être aussi pour comprendre comment il s’est perdu, même si se perdre est le destin de tous ceux qui vivent : « Tout fut sans issue. » Le propos, né du désespoir, livre aussi la formule de son dépassement ; car les mots, avec leur secrète et invincible justice, recèlent la promesse d’une nouvelle naissance : « Retrouve enfin le souffle/ et meut les paroles./ Elles...
Christian Molinier
janvier 1999
Le Matricule des Anges n°25