auteur Luc Dietrich
A propos
Leçons de vie
Dans ce beau récit autobiographique, Luc Dietrich évoque l’enfance qu’il a vécue près de sa mère. Une initiation en mouvement.
Luc Dietrich (1913-1944) a traversé l’histoire littéraire au galop (brutalement interrompu par la Seconde Guerre mondiale, qui a croisé d’un peu trop près sa santé déjà bien fragile), et avec une discrétion exemplaire - ou excessive, si l’on a goûté la qualité de sa plume. Salué par Éluard et quelques autres, il a laissé à la postérité une œuvre brève, qu’un ensemble de lettres échangées avec son ami René Daumal devrait bientôt compléter (Demain c’est le possible, à paraître aux éditions Éoliennes en 2009).
Le Bonheur des tristes a été écrit à l’âge de 22 ans, et à quatre mains, avec...
Ouvrages chroniqués
Huttes à la lisière
de
Luc Dietrich
Huttes à la lisière parut en 1931 avec la caution de Luc Durtain. Premier recueil de Luc Dietrich (1913-1944) imprimé à cent exemplaires, il donnait l’avant-goût d’une œuvre marquée par l’inquiétude et la délicatesse. Avec « Le berger perdu dans Paris », « L’escalier », « Dieu », « Le Coq » et « Pour la brise d’un soir d’avril », celui qui fut un temps membre de la pègre -une expérience qu’il relate dans L’Apprentissage de la ville (1942)- traduisait son sentiment de la précarité. « Tu es partie une nuit où je souffrais des dents » dit-il en mêlant l’angoisse et la compassion :...
le Bonheur des tristes
de
Luc Dietrich
1995
Clochard ou julot, Luc Dietrich s’est cherché parmi les hommes. Ses deux récits autobiographiques retracen sa descente aux enfers. Réédition.
J’ai été rejeté de bord en bord comme une planche. Je suis descendu des zones populeuses aux zones mortes des barrières, des zones des usines à celles des ordures. »
Luc Dietrich fut un homme des marges que la vie a ballotté. Le Bonheur des tristes et l’Apprentissage de la ville sont les deux récits autobiographiques qui retracent son itinéraire. Témoignages douloureux, ils sont riches comme des mémoires, beaux comme des poèmes en prose. La critique ne s’y est pas trompée qui célébrait en 1935 et 1942 ces livres de l’intranquillité. Somme sincère des errements d’un homme mélancolique et...
L' Apprentissage de la ville
de
Luc Dietrich
1995
Clochard ou julot, Luc Dietrich s’est cherché parmi les hommes. Ses deux récits autobiographiques retracen sa descente aux enfers. Réédition.
J’ai été rejeté de bord en bord comme une planche. Je suis descendu des zones populeuses aux zones mortes des barrières, des zones des usines à celles des ordures. »
Luc Dietrich fut un homme des marges que la vie a ballotté. Le Bonheur des tristes et l’Apprentissage de la ville sont les deux récits autobiographiques qui retracent son itinéraire. Témoignages douloureux, ils sont riches comme des mémoires, beaux comme des poèmes en prose. La critique ne s’y est pas trompée qui célébrait en 1935 et 1942 ces livres de l’intranquillité. Somme sincère des errements d’un homme mélancolique et...