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auteur Mathieu Bénézet

A propos

Mathieu Bénézet met un point final à sa poésie Depuis plus de trente ans il écrit des livres comme on creuse des souterrains, perçant et recueillant les échos de voix hantées par l’enfance, la mort et l’écriture. Jusqu’à L’Aphonie de Hegel, « mon dernier poème ». Inconsolable…. Difficile en une seule phrase de décrire l’écriture de Mathieu Bénézet, de dire le foisonnement densifié des formes qu’elle prend. Écoutons les précisions qu’il donne pour chacun de ses livres : ménippée, mélodrame, mélange, roman, poésie, miscellanées, prose, rime, récit, essai de voir, de lire, poème. Depuis la parution de son premier livre important, L’Histoire de la peinture en trois volumes en 1968 chez Gallimard (préfacé par Aragon), le trajet de Bénézet est sans concession, sans compromission : chaque livre (presque trente dont, dernièrement, Moi, Mathieu bas-vignon, fils de…[Actes...
juillet 2000
Le Matricule des Anges n°31

Ouvrages chroniqués

Le Roman des revues
de Mathieu Bénézet
2012
C’est avec une évidente délectation que Mathieu Bénézet, sans doute un des écrivains contemporains les plus atypiques, s’est emparé de son sujet : les revues. Très apprêtées ou totalement artisanales, maousses ou riquiqui, de critique et/ou de création, les revues « dessinent un paysage littéraire non figé, elles sont le roman des romans », écrit-il en fervent lecteur. Au fil de ses notules, il les raconte, dit leur projet, leur élaboration, éventuellement leur portée. Et le fait avec une bienveillance non dénuée d’esprit critique. S’improvisant tout à tour historien et chroniqueur,...
Anthony Dufraisse
novembre 2012
Le Matricule des Anges n°138
Ne te confie qu’à moi
de Mathieu Bénézet
2008
Creusant sa parole inassouvie, Mathieu Bénézet poursuit, entre vie et didascalies, l’ombre imparfumée de l’amour d’aimer. Il y a de l’impossible chez Mathieu Bénézet, dans la façon qu’il a de se sentir séparé de sa vie et déchiré par sa « haine de la poésie » entendue comme lieu de toutes les illusions et de toutes les déceptions. « ° je me voulus peintre de la guerre & de la langue°/ c’est impossible ° j’accepte le rang d’étranger ° et le vertige/ de ne pas partir ° 1 bloc moderne ° attaché à rien° ». Une forme de vivre-mourir dont témoigne une œuvre hantée par la douleur du négatif. Mathieu Bénézet n’avait pas publié de livre de poèmes depuis L’Aphonie de Hegel (Obsidiane, 2000) dans lequel il soulignait...
Richard Blin
janvier 2009
Le Matricule des Anges n°99