La lettre de diffusion

Votre panier

Le panier est vide.

Nous contacter

Le Matricule des Anges
ZA Loup à Loup 83570 Cotignac
tel ‭04 94 80 99 64‬
lmda@lmda.net

Connectez-vous avec les anges

Vous n'êtes actuellement pas identifié. Pour pouvoir commander un numéro, un abonnement ou bien profiter, en tant qu'abonné, des archives en ligne, vous devez vous connecter avec votre compte.

Retrouver un compte

Vous avez un compte mais vous ne souvenez plus du mot de passe ? Vous êtes abonné-e mais vous vous connectez pour la première fois ? Vous avez déjà créé un compte, peut-être, vous ne savez plus trop ?

Créer un nouveau compte

Vous inscrire sur ce site Identifiants personnels

Indiquez ici votre nom et votre adresse email. Votre identifiant personnel vous parviendra rapidement, par courrier électronique.

Informations personnelles

Pas encore de compte?
Soyez un ange, abonnez-vous!

Vous ne savez pas comment vous connecter?

auteur Per Olov Enquist

Ouvrages chroniqués

Blanche et Marie
de Per Olov Enquist
2006
Per Olov Enquist s’empare de deux grandes aventures scientifiques du monde moderne et nous conduit jusque dans les eaux troubles de leurs explorateurs. Ce n’est pas la première fois que Per Olov Enquist, important romancier suédois, écrit des récits mêlant la biographie et le roman, il l’a déjà fait par exemple dans Le Médecin personnel du roi, dans lequel il racontait le destin hors du commun de Struensee, qui fut au XVIIIe siècle le médecin et le conseiller de Frédéric V, roi du Danemark. Il se penche cette fois sur plusieurs personnages dont les vies se sont croisées et mêlées : celle de Marie, Pierre Curie, et Paul Langevin (qui fut le dernier amour de Marie Curie) d’une part ; celle de Jean Martin Charcot d’autre part. C’est...
Delphine Descaves
février 2006
Le Matricule des Anges n°70
Le Médecin personnel du roi
de Per Olov Enquist
Le docteur Struensee prescrivit jadis une amère potion à la noblesse danoise. Une vie et une mort sur ordonnance par Per Olov Enquist. S’il y eut jamais quelque chose de pourri au royaume du Danemark, ce fut bien l’organisme du roi Frédéric V au crépuscule de son existence : « Sa chair était devenue enflée et pâteuse, grise, son visage avait pris l’aspect de celui d’un noyé, comme si on avait pu détacher des morceaux de son visage. À l’intérieur de cette masse, ses yeux se dissimulaient, pâles et sécrétant une humeur jaunâtre comme si le cadavre avait déjà commencé à se liquéfier. » Lorsqu’il finit par mourir le 14 janvier 1770, en odeur de putréfaction plus que de sainteté, le pouvoir échut à son fils Christian VII,...
Eric Naulleau
janvier 2001
Le Matricule des Anges n°33