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auteur Rainer Maria Rilke

A propos

Rilke, à risques et périls Dans ses récits des années 1890, véritable creuset d’une œuvre éprise d’absolu, le jeune Rainer Maria prend la mesure du manque essentiel de la réalité. Devant la volonté d’idéal, l’existence de tous les jours est souvent démunie, et les idéaux les plus purs risquent bien d’être défigurés une fois passée l’épreuve de la réalité. Non que ne se produisent ces instants où l’Absolu semble être à portée de la main, et Rilke (1875-1926) excelle à décrire ces moments de grâce dans lesquels le Moi, grisé de désir, d’amour ou de bonheur, se plonge avec ravissement. Mais ces états heureux d’harmonie, avec l’Autre, avec soi ou avec le cosmos, sont toujours précaires. Tel est ce basculement tragique, cette chute vertigineuse, que met en scène avec...
juillet 2006
Le Matricule des Anges n°75

Ouvrages chroniqués

Lettres à un jeune poète
de Rainer Maria Rilke
2020
Avec ses lettres enfin complétées par celles du jeune poète avec qui il correspond, rainer maria Rilke a écrit, sans le savoir, un des plus célèbres ouvrages sur la poésie. Tout commence à la fin de l’automne 1902. Dans le parc de l’Académie militaire de Wiener Neustadt, un jeune élève officier, Franz Xaver Kappus, lit un livre dont la couverture va inspirer, au chapelain de l’Académie, qui passait par là, une réflexion inattendue : « Ainsi donc, l’élève René Rilke est devenu poète. » Et d’évoquer le souvenir qu’il a gardé de cet ancien élève qui, quelques années auparavant, avait suivi les cours de l’école militaire des cadets, à Sankt Pölten. « On comprendra aisément, après cela, que j’aie décidé dans l’heure même d’adresser mes tentatives poétiques à...
Richard Blin
janvier 2021
Le Matricule des Anges n°219
Correspondance à trois
de Boris Pasternak , Rainer Maria Rilke , Marina Tsvétaïeva
2003
Le temps d’un été, en 1926, trois très grands poètes -Rilke, Pasternak, Tsvétaïéva- livrent les vérités secrètes qui les consument. Une correspondance ruisselante d’âme nue. Décembre 1925. L’Europe fête les cinquante ans de Rilke. Par l’intermédiaire de son père Boris Pasternak est mis en contact avec Rilke. Il n’a rien écrit d’intéressant depuis Ma sœur la vie (1917), et nourrit difficilement sa petite famille à Moscou. C’est le début d’un échange débordant d’admiration. « Je vous suis redevable du fond même de mon caractère, de la forme même de mon existence spirituelle. (…) Maintenant, c’est comme si j’étais né de nouveau. Grâce à deux hasards ». À celui que nous venons d’évoquer, il faut ajouter la lecture enthousiaste du Poème de la fin de Marina...
Richard Blin
juillet 2003
Le Matricule des Anges n°45
la Huitième Élégie de Duino
de Rainer Maria Rilke
Roger Munier traduit et commente La Huitième Elégie de Duino de Rilke pour un éclairage sans filtre sur une œuvre qui questionne sans relâche. Qui donc nous a inversés de la sorte que,/ quoi que nous fassions, nous ayons la contenance/ de quelqu’un qui s’éloigne (…) ainsi vivons-nous, sans fin prenant congé. » Composée après la Première Guerre mondiale, La Huitième Elégie de Duino fait partie de ces œuvres qui n’en finiront jamais de nous interroger. En quelques vers qui « défient la traduction » (Klossowski), le poète pointe le doigt sur un invisible qui fait de l’humain un spectateur, un être hors du monde. Non pas par son impossibilité à voir ce qui se dérobe, mais, au contraire, par sa faculté de voir, de mettre à distance,...
Thierry Guichard
septembre 1998
Le Matricule des Anges n°24
Lettres sur Cézanne
de Rainer Maria Rilke
Octobre 1907. Dans la capitale française, l’événement a lieu au Salon d’Automne : la rétrospective Cézanne célébre le premier anniversaire de sa mort. Dans les premières lettres adressées à Clara Westhoff, son épouse depuis 1901, Rilke impose encore sa voix de poète : « Des nuages, des nuages lâches, du vent, de brèves ondées, et d’une haute éclaircie, soudain, du soleil, ainsi qu’un coup de projecteur, brutal, massif, rapide, sur quelque chose de mouillé qu’être ainsi ébloui rend absolument blanc ». Mais après un échange intime et comme amoureux avec les toiles de Cézanne, le poète...
Didier Garcia
février 1996
Le Matricule des Anges n°15