auteur Raphaël Majan
Ouvrages chroniqués
Le Collège du crime
de
Raphaël Majan
2004
Chouette : Raphaël Majan ajoute deux nouveaux chapitres, drôle et retors, à sa série policière.
Si, après chaque meurtre, on arrêtait immédiatement le premier ou le deuxième venu, il n’y aurait plus de crime impuni » : c’est la raison toute nue qui a ouvert les yeux du commissaire Wallance. Une allègre logique, dont il s’autorise pour mener à bien sa croisade sécuritaire et s’effacer ainsi devant une mission qui « relève du travail d’intérêt général plus que particulier ». Sauf que Wallance n’arrête pas vraiment « le premier ou le deuxième venu ». Il boucle qui lui chante, et donc (forcément) qui lui déplaît. Qui plus est, et toujours pour gonfler les statistiques, le voilà qui...
Chez l’oto-rhino
Une contre-enquête du Commissaire liberty
de
Raphaël Majan
2004
Raphaël Majan lance une nouvelle série policière : les « contre-enquêtes » du commissaire Wallance, divertissements cyniques et enlevés.
L’intrigue repose sur une curieuse idée, qui rafraîchit le genre. « À quoi servirait son métier, à quoi aurait-il consacré vingt-sept ans de sa vie s’il y avait des crimes sans assassins ? » s’agace le commissaire Wallance. Confronté à l’un de ces crimes, il finit par trouver une réponse appropriée en mettant un innocent sous les verrous. L’affaire est ainsi bouclée, mais il apparaît vite qu’on peut encore mieux faire pour multiplier à coup sûr le nombre des arrestations. Le « crime idéal serait celui qu’il effectuerait lui-même en faisant porter le chapeau à des êtres objectivement...
L' Apprentissage
Une contre-enquête du commissaire Liberty
de
Raphaël Majan
2004
Raphaël Majan lance une nouvelle série policière : les « contre-enquêtes » du commissaire Wallance, divertissements cyniques et enlevés.
L’intrigue repose sur une curieuse idée, qui rafraîchit le genre. « À quoi servirait son métier, à quoi aurait-il consacré vingt-sept ans de sa vie s’il y avait des crimes sans assassins ? » s’agace le commissaire Wallance. Confronté à l’un de ces crimes, il finit par trouver une réponse appropriée en mettant un innocent sous les verrous. L’affaire est ainsi bouclée, mais il apparaît vite qu’on peut encore mieux faire pour multiplier à coup sûr le nombre des arrestations. Le « crime idéal serait celui qu’il effectuerait lui-même en faisant porter le chapeau à des êtres objectivement...