auteur Sergueï Essénine
Ouvrages chroniqués

La Ravine
de
Sergueï Essénine
2008
Auteur d’une œuvre aussi fulgurante qu’abondante, Sergueï Essenine (1895-1915) fut un poète maudit. Avec son visage d’ange, ses poses de paysan ou de dandy, ses beuveries, ses aventures amoureuses où se mêlent le mariage (dont un avec Isadora Duncan, la danseuse aux pieds nus) et ses passions homosexuelles, il eut une existence frénétique qui s’acheva sur un suicide, à l’âge de 30 ans. Supérieurement indocile, épris d’absolu, homme des partances et de la fièvre des haltes intensément vécues, la poésie d’Essenine - L’Homme noir (Circé, 2005), et le Journal d’un poète (La Différence, 2004)...

Journal d’un poète
de
Sergueï Essénine
2004
Sa rage d’absolu, son sens du don et sa destinée tragique en font le poète le plus populaire de Russie. Sergueï Essénine (1895-1925) a brûlé sa vie. Deux nouvelles traductions nous le prouvent.
Avec ses yeux bleus et ses cheveux dorés bouclés, il ressemblait à un héros de conte russe. Quand il débarque à Petrograd (Saint-Pétersbourg), Sergueï Essénine est bien décidé à se faire connaître et reconnaître. Né vingt ans plus tôt à Konstantinovo, un pays d’eau, de steppe et de bois, et tôt initié aux rudes réalités de la vie rurale (« J’avais à peine trois ans qu’ils me juchaient à cru sur un cheval, le lançant au galop… »), il a été élevé dans les traditions de la vieille Russie paysanne, nourries de folklore, de religiosité et de mythologie slave. Nous sommes en 1915. Il reste dix...

L' Homme noir
de
Sergueï Essénine
2005
Sa rage d’absolu, son sens du don et sa destinée tragique en font le poète le plus populaire de Russie. Sergueï Essénine (1895-1925) a brûlé sa vie. Deux nouvelles traductions nous le prouvent.
Avec ses yeux bleus et ses cheveux dorés bouclés, il ressemblait à un héros de conte russe. Quand il débarque à Petrograd (Saint-Pétersbourg), Sergueï Essénine est bien décidé à se faire connaître et reconnaître. Né vingt ans plus tôt à Konstantinovo, un pays d’eau, de steppe et de bois, et tôt initié aux rudes réalités de la vie rurale (« J’avais à peine trois ans qu’ils me juchaient à cru sur un cheval, le lançant au galop… »), il a été élevé dans les traditions de la vieille Russie paysanne, nourries de folklore, de religiosité et de mythologie slave. Nous sommes en 1915. Il reste dix...