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auteur Stéphane Audeguy

A propos

Le monde réapproprié Lecteur encyclopédique, Stéphane Audeguy a puisé chez Jules Verne le désir du monde, chez Diderot le mariage de la pensée et de l’émotion, chez Queneau l’art de la narration. Ses trois romans proposent un enchantement critique de notre temps. L’année 2005 n’aura pas été mauvaise pour la littérature. C’est cette année-là que paraît le premier roman de Stéphane Audeguy, La Théorie des nuages qui va souffler un air frais dans les lettres françaises. Proprement enchanteur, ce roman raconte l’arrivée d’une jeune bibliothécaire, Virginie Latour, dans la maison d’Akira Kumo un célèbre couturier japonais qui a souhaité qu’elle s’occupe de classer sa bibliothèque essentiellement consacrée à la météorologie. Nous sommes à Paris en 2005, mais les récits épisodiques du Japonais vont nous conduire un peu partout dans le monde : pour...
mars 2009
Le Matricule des Anges n°101

Bibliographie

Nous autres, roman (Gallimard, 2009) * In Memoriam, textes brefs (Le Promeneur, 2009) * Petit éloge de la douceur, essai (Folio, 2007) * Les Monstres, essai (Gallimard, « Découvertes », 2007) * Fils unique, roman (Gallimard, 2006 ; Folio, 2008) * La Théorie des nuages, roman (Gallimard, 2005 ; Folio, 2007)
mars 2009
Le Matricule des Anges n°101

À ciel ouvert

Le premier roman de Stéphane Audeguy élargit l’horizon habituel de la fiction française. On y chasse les nuages à travers le monde et l’Histoire dans une quête métaphysique et intime. Ce n’est pas infaillible, mais quand la première phrase d’un roman vous laisse béant, il y a des chances pour que son auteur ait trouvé sa voix. La première phrase du premier roman de Stéphane Audeguy, né à Tours en 1964, s’apparente à ces languettes rouges grâce auxquelles on ouvre facilement l’emballage d’un fromage, d’un paquet de gâteaux. Vous tirez dessus et c’est tout un monde qui...
mars 2005
Le Matricule des Anges n°61

Ouvrages chroniqués

L' Enfant du carnaval
de Stéphane Audeguy
2009
Stéphane Audeguy renoue avec l’époque révolutionnaire, son théâtre populaire et le rire. Une manière aussi d’éclairer, à contre-jour, notre époque. Bon nombre des titres de la belle collection « L’Un et l’Autre » s’ouvrent un espace entre fiction et essai. Un écrivain déroule une prose, parfois rêveuse, parfois joueuse, toujours délicate, entre un personnage (historique, littéraire, mort, vivant, inventé, célèbre ou non) et lui-même, entre l’autre, donc, et soi-même. La fiction, alors, est un moyen de dessiner le rapport que l’écrivain entretient avec son sujet. Stéphane Audeguy, lui, a choisi résolument la forme de l’essai. Nulle fiction ici pour évoquer la figure du dramaturge et romancier Pigault-Lebrun (1753-1835). Il y avait...
Thierry Guichard
novembre 2009
Le Matricule des Anges n°108
Fils unique
de Stéphane Audeguy
2006
En incarnant le frère aîné de Jean-Jacques Rousseau, Stéphane Audeguy dresse le portrait d’un siècle que le rationalisme a tué. Illusions perdues. Pour son deuxième roman, après le très réussi La Théorie des nuages, Stéphane Audeguy a offert un corset à sa capacité d’invention. Qui est grande. Un corset historique et linguistique puisqu’en prêtant sa voix au frère de Jean-Jacques Rousseau, il s’imposait d’écrire comme on le faisait au XVIIIe siècle et de tenir la fiction sous le joug de la vraisemblance historique. Rousseau, dans Les Confessions, n’évoque que peu son frère aîné, qu’il connut à peine. Stéphane Audeguy s’est emparé de ce mystère pour imaginer la vie de François. Ayant, ici, survécu à Jean-Jacques et à la Révolution,...
Thierry Guichard
octobre 2006
Le Matricule des Anges n°77