La lettre de diffusion

Votre panier

Le panier est vide.

Nous contacter

Le Matricule des Anges
ZA Loup à Loup 83570 Cotignac
tel ‭04 94 80 99 64‬
lmda@lmda.net

Connectez-vous avec les anges

Vous n'êtes actuellement pas identifié. Pour pouvoir commander un numéro, un abonnement ou bien profiter, en tant qu'abonné, des archives en ligne, vous devez vous connecter avec votre compte.

Retrouver un compte

Vous avez un compte mais vous ne souvenez plus du mot de passe ? Vous êtes abonné-e mais vous vous connectez pour la première fois ? Vous avez déjà créé un compte, peut-être, vous ne savez plus trop ?

Créer un nouveau compte

Vous inscrire sur ce site Identifiants personnels

Indiquez ici votre nom et votre adresse email. Votre identifiant personnel vous parviendra rapidement, par courrier électronique.

Informations personnelles

Pas encore de compte?
Soyez un ange, abonnez-vous!

Vous ne savez pas comment vous connecter?

éditions Propos 2

Ouvrages chroniqués

Duende
de Jean de Breyne
2021
Jean de Breyne suit le chant impersonnel du poème, basse fréquence murmurée qui l’ouvre à tout ce qui, du temps, reste peut-être chantable. Poète discret (né en 1943), photographe, fondateur de la galerie-librairie l’Ollave à Lyon, puis éditeur d’essais d’artistes ainsi que d’un « Domaine croate/poésie » depuis 2012 avec Martina Kramer, Jean de Breyne mène de front toutes ces activités sans suffisance ni prétention. L’homme conduit sa barque lente depuis le Luberon où il vit depuis trente ans. Il sait la volonté nécessaire et cette invitation régulière que l’écrivain se donne, chaque jour, pour rêver de livres qui, pourtant, déjà se défont, désœuvrés en eux comme il se peut que nous le soyons parfois face aux vérités infâmes...
Emmanuel Laugier
juillet 2021
Le Matricule des Anges n°225
Vague
de Guillaume Boppe
2012
Après des expériences d’écritures à deux mains avec Mathias de Breyne et trois textes brefs aux Éditions du Caillou, Guillaume Boppe publie un livre dont l’étrangeté continue d’infuser longtemps après. Depuis l’exiguïté d’un espace clos, un individu parle, le corps courbé sur une table. Une toile cirée colle au visage de celui qui questionne, cherche inlassablement quelque chose. Mais quoi ? Impossible de le savoir car le monde alentour non seulement échappe à tout repère spatio-temporel mais peut-être n’existe-t-il pas : « J’ai tenté de sortir/ mais quand j’ai voulu poser le pied /...
Christine Plantec
novembre 2012
Le Matricule des Anges n°138