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La rédaction Guillaume Contré

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Guillaume Contré

Articles

Halage

de Patrick Wateau

L' Immobilité et brin d’herbe

de Serge Nuñez Tolin
Fragments sur l'atelier Deux recueils abordent chacun à leur façon une poétique de la brièveté, oscillant entre la tentation de l’aphorisme et le concassement des images. Maison « d’auteur », le Cadran ligné, dirigé par le poète Laurent Albarracin, publie peu mais bien. Deux nouveautés à son catalogue le démontreront une nouvelle fois : Halage, de Patrick Wateau et L’Immobilité et un brin d’herbe, de Serge Núñez Tolin. Les associer, au-delà de leur éditeur commun, n’est pas totalement capricieux, l’un et l’autre pratiquent ici une poésie qui procède par éliminations plutôt que dans l’expansion. Des poèmes courts, donc, qui forment des séries et qui, page après page, enrichissent un sens toujours un peu fuyant, sur le mode du pied de nez : c’est...
avril 2024
Le Matricule des Anges n°252
L’aura que traîne le Polonais Bruno Schultz est de celles qui collent tant à la peau qu’elles deviennent indissociables de l’œuvre. Auteur de nouvelles inquiétantes, victime d’une guerre qui interrompra un parcours littéraire brillant, ayant souffert tant du stalinisme que du nazisme, il est de ces figures devenues malgré elles iconiques. Peut-on dès lors les « manœuvrer » sans danger ?...
juin 2016
Le Matricule des Anges n°174

Le savant fou et ses masques

Chez Aira, la nonchalance de ce qui semble s’écrire au fil de la plume n’est que jeu d’apparences. De fils entremêlés en aiguilles tarabiscotées, le train de sa fiction aime en cacher beaucoup d’autres. Ainsi se dessinent de belles enfilades cubistes. Le style amène de ses textes resserrés fait de la limpidité un réservoir à chausse-trapes. Le récit fonctionne par couches : couches de sens,...
mai 2016
Le Matricule des Anges n°173

Éloge d’une littérature détendue

Dans un entretien généreux, l’écrivain se dévoile tel qu’en lui-même : fantasque et subtil, passant de l’évocation de ses débuts à sa conception de la littérature Les bars font partie intégrante du « mythe personnel » – pour reprendre une de ses formules – que César Aira s’est construit au fil du temps. L’essentiel de son œuvre y a été écrit, au stylo-plume, d’une calligraphie patiente, dans des petits carnets qu’il soigne avec un soin fétichiste. Il nous en montrera d’ailleurs un flambant neuf, ramené de l’Uruguay voisin. C’est donc naturellement dans...
mai 2016
Le Matricule des Anges n°173

César aira ou l’enfance retrouvée

Avec une centaine de livres à son actif, l’écrivain argentin aura créé au fil des ans une œuvre pléthorique et aérienne, où l’imagination sans fin est une porte ouverte sur toutes les excentricités. Peu d’auteurs auront consacré leur vie à la littérature comme le fait César Aira depuis près de cinquante ans. En toute discrétion, loin de la vaine agitation des cénacles littéraires qu’il a toujours fuis, lui qui considère qu’un écrivain ne devrait avoir d’autre mission qu’écrire. Inlassablement, si possible. Guidé par sa seule capacité d’affabulation, faisant de l’invention un maître mot....
mai 2016
Le Matricule des Anges n°173