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Le Matricule des Anges
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La rédaction Richard Blin

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Articles

On ne badine pas avec

de Jules Vipaldo
Quand l'oreille écrit Aventurier du calembour, explorateur de l’à-peu-près et grand jouisseur de mots, Jules Vipaldo conjugue le plaisir textuel à la jubilation de « l’ouïssance ». Le résultat est un livre érotico-poético-déconnant. À tous ceux qui pensent que la littérature, l’écriture, c’est toujours sérieux, les lignes qui suivent ne sauraient convenir. Elles s’adressent plutôt à ceux qui, dans la lignée du Rimbaud aimant les peintures idiotes, les enluminures populaires, les livres érotiques sans orthographe et les refrains niais, ont parfois besoin d’être détournés de certaines habitudes du sens, ont besoin de fuir l’univocité et la clarté signifiante, de retrouver un peu de l’étonnement premier face à la présence nue des mots – leur forme, leur figure, leur matière – et de renouer avec le plaisir des yeux et de...
mars 2024
Le Matricule des Anges n°251

Les Nuits vagabondes

de Claude Dourguin

Laponia

de Claude Dourguin

Envoûtements silencieux

Qu’elle évoque ses nuits à la belle étoile ou ses traversées de l’arctique finnois, c’est du sentiment de la présence du monde que témoigne Claude Dourguin. Un peu fille du vent, un peu chercheuse d’étoiles, Claude Dourguin incarne cette forme de poésie vécue qui naît de l’empoignade avec la réalité élémentaire. Témoin des amours de la terre et de la mer, du jour et de la nuit, elle cherche à renouer avec la conscience première d’exister, d’être là, au cœur même d’une commune présence. C’est pourquoi elle aime les chemins de traverse (elle vit en...
février 2009
Le Matricule des Anges n°100

Larmes libanaises

Pour Richard Millet, écrire ne consiste pas à bondir hors du rang des meurtriers (Kafka), mais à connaître leur sort. La Confession négative est une expérience noire de soi, hantée par la face de l’ange dans l’ombre de la mort. Richard Millet ne viendrait-il pas de nous donner, avec sa Confession négative, ses Fleurs du Mal un « livre atroce », disait Baudelaire, dans lequel « j’ai mis tout mon cœur, toute ma haine » ? Comment expliquer sinon que, le livre à peine fermé, nous vienne à l’esprit ce qu’en disait Barbey d’Aurevilly. « Après Les Fleurs du Mal, il n’y a plus que deux partis à prendre pour le poète qui les...
février 2009
Le Matricule des Anges n°100

Ne te confie qu’à moi

de Mathieu Bénézet

Cendres et contre-chant

Creusant sa parole inassouvie, Mathieu Bénézet poursuit, entre vie et didascalies, l’ombre imparfumée de l’amour d’aimer. Il y a de l’impossible chez Mathieu Bénézet, dans la façon qu’il a de se sentir séparé de sa vie et déchiré par sa « haine de la poésie » entendue comme lieu de toutes les illusions et de toutes les déceptions. « ° je me voulus peintre de la guerre & de la langue°/ c’est impossible ° j’accepte le rang d’étranger ° et le vertige/ de ne pas partir ° 1 bloc moderne ° attaché à rien° ». Une forme...
janvier 2009
Le Matricule des Anges n°99

Nord profond

Illustration(s) de François Monnet
de Olav H. Hauge

Nord profond

À droite, un poème dont l’écriture semble tenir de la diligence de l’oiseau du matin se posant sur la glace d’une nuit ; à gauche, une photographie éclairant de son aumône de lumière la nuit du souvenir. D’un côté donc, des poèmes extraits de l’œuvre d’un des grands poètes norvégiens, Olav H. Hauge (1908-1994) ; de l’autre la vision que garde François Monnet de la Norvège, un pays dont il...
janvier 2009
Le Matricule des Anges n°99