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auteur Cécile Mainardi

Ouvrages chroniqués

Rose activité mortelle
de Cécile Mainardi
2012
La voix si singulière de Cécile Mainardi donne à lire des phrases toutes tendues de sensualités, de vitesses, physiques autant que grammaticales, et formidablement neuves. Cécile Mainardi est ultra-contemporaine, elle s’avance devant la scène de l’écriture comme devant une vague peu prévisible lorsque le vent souffle à plus de cent km/h sur la Promenade des Anglais, et qu’elle saccage les vitrines avoisinantes : son phrasé intègre ce risque sur le temps, comme dans le formidable Rose activité mortelle, son nouvel opus, dont le titre signe si bien son engagement, lyrique, racinien, radioactif, dans le présent. Cécile Mainardi vient ainsi dans son poème, qu’il soit rectangles de proses ou vers rapide, fusées. Son exigence rythmique (impressionnante), ses...
Emmanuel Laugier
mai 2012
Le Matricule des Anges n°133
Le Degré rose de l’écriture
de Cécile Mainardi
2018
Lapidaire et inspiré, ce nouvel opus d’un parcours atypique a la chaleur irradiante d’un bouche-à-oreille. Sur le toit du Petit Palais de Nice, on a vu une femme vêtue d’une chemise bleu magnétique brandir un panneau lumineux sur lequel figurait le texte : « Je porte la chemise de Michelangelo Antonioni ». On a pu voir la même femme, debout sur un socle tournant, chanter en italien La bambola et manquer de s’étrangler avec le fil de son micro. Elle encore qui, dans une galerie d’art, susurrait d’oreille en oreille cette phrase toute magritienne, légèrement modifiée : « Cécile n’est pas une pipe ». Peut-être aurez-vous reconnu celle qui depuis vingt-cinq ans et dix livres ne cesse d’interroger...
Christine Plantec
septembre 2018
Le Matricule des Anges n°196
Je suis une grande actriste
de Cécile Mainardi
2007
Septième livre depuis Grièvement (1992) au récent La Blondeur (2006), Je suis une grande actriste confirme la singularité de la voix de Cécile Mainardi, à même hauteur que celle de Véronique Pittolo, Caroline Dubois ou Isabelle Pinçon, par exemple. C’est la vitesse, le décalage permanent, et, tout compte fait, le déséquilibre toujours affleurant, qui caractérise peut-être le mieux ce qu’elle cherche dans la prosodie de ses phrases. Elle y répond par l’habitacle d’un poème qui, à mesure qu’il s’emballe, casse ses rythmes, les varie, les syncope doucement, jusqu’à nommer ses accentuations,...
Emmanuel Laugier
mars 2007
Le Matricule des Anges n°81
La Forêt de Porphyre
de Cécile Mainardi
En dehors d’un premier recueil de poèmes très confidentiel, on peut considérer La Forêt de Porphyre comme le premier livre de cette jeune poétesse, pensionnaire de la Villa Médicis il y a peu, et dont le nom a parcouru régulièrement les sommaires des revues Po&sie, Java ou Nioques. Issus de projets de performances réalisables, dans le droit fil de ce que l’on peut appeler, avec Christian Prigent, « la voix de l’écrit », les 94 textes qui ponctuent le chemin forestier de Cécile Mainardi ont ceci de particulier qu’ils entendent déployer toutes les règles, réflexions, et autres notations...
Emmanuel Laugier
août 1999
Le Matricule des Anges n°27