auteur Chinua Achebe
Ouvrages chroniqués
Tout s’effondre
de
Chinua Achebe
,
Pierre Girard
2013
Par le récit du drame vécu par un village nigérian, Chinua Achebe transcende sa révolte contre la colonisation.
Tout s’effondre est un « classique de la littérature mondiale », l’un des romans africains le plus lu et étudié dans le monde anglophone. Publié en 1958, il relate les effets désastreux de l’intrusion des Britanniques dans un petit village de l’est du Nigeria à la fin du XIXe siècle. Né en 1930 à Ogidi, Chinua Achebe est mort à Boston en mars dernier. Il a été célébré pour son érudition et sa confiance en une évolution positive du continent africain. Ayant vigoureusement combattu le colonialisme qu’il qualifie « d’acte de brigandage sous une hypocrisie manifeste », il est l’héritier d’une...
Education d’un enfant protégé par la couronne
de
Chinua Achebe
2013
Par le récit du drame vécu par un village nigérian, Chinua Achebe transcende sa révolte contre la colonisation.
Tout s’effondre est un « classique de la littérature mondiale », l’un des romans africains le plus lu et étudié dans le monde anglophone. Publié en 1958, il relate les effets désastreux de l’intrusion des Britanniques dans un petit village de l’est du Nigeria à la fin du XIXe siècle. Né en 1930 à Ogidi, Chinua Achebe est mort à Boston en mars dernier. Il a été célébré pour son érudition et sa confiance en une évolution positive du continent africain. Ayant vigoureusement combattu le colonialisme qu’il qualifie « d’acte de brigandage sous une hypocrisie manifeste », il est l’héritier d’une...
Tout s’effondre
de
Chinua Achebe
,
Pierre Girard
2013
Chinua Achebe (1930-2013), « le père du roman africain », plonge le lecteur dans les traditions du Nigeria. Avant leur disparition.
Dans le village d’Umuofia, situé quelque part dans la province orientale du Nigeria, Okwonko occupe une position sociale éle-vée. Dans la société ibo qui est la sienne, la richesse d’un homme se mesure au nombre de femmes, d’enfants et de granges qu’il possède. Et à ce jeu-là, il faut bien reconnaître qu’Okwonko se défend plutôt bien : au début du roman, il a déjà huit enfants, trois femmes, et deux granges remplies d’ignames.
S’il ambitionne de devenir un des seigneurs du clan, ce n’est peut-être pas tant par soif du pouvoir que pour tirer un trait définitif sur l’ombre de son défunt...