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auteur Didier Blonde

A propos

Les fleurs du muet Récit-blason au charme capiteux et suranné, Un amour sans paroles de Didier Blonde projette sur l’écran de nos fantasmes le visage d’un idéal féminin : Suzanne Grandais. Aux Archives Gaumont de Saint-Ouen, Pierre Philippe - « homme hétéroclite » ayant, entre autres, produit « Cinémalices » pour Antenne 2, en 1979 - confie au narrateur d’Un amour sans paroles un manuscrit de « quelques dizaines de pages dactylographiées ». Ce dernier, rédigé en 1974, contient le récit lacunaire d’une existence « parallèle et secrète » entièrement placée sous l’influence d’un ravissement cinématographique. Au printemps 1912, au Tivoli-Cinéma de la rue de la Douane, un certain Jean D. inaugure une « nouvelle forme d’amour » que lui inspire l’actrice encore anonyme de Lumière...
avril 2009
Le Matricule des Anges n°102

Ouvrages chroniqués

Répertoire des domiciles parisiens de quelques personnages fictifs de la littérature
de Didier Blonde
2010
Tel un chauffeur de taxi illégal, Didier Blonde explore les adresses des personnages de romans. Tout le monde l’ignore : Didier Blonde habite au 10 bis de la rue de l’Imaginaire. Comme un collectionneur mordu, il a là accumulé dans les dizaines de milliers de m² des pages de sa bibliothèque les multiples éléments d’une carte du tendre un peu extraordinaire. « Même dans les livres, je préfère les histoires racontées dans un cadre réel à celles qui se déroulent comme en studios, sans repères connus, dans un monde où tout est inventé, en paysages peints. » Patient récoleur, ce chercheur d’outre-vérités a entrepris de relever lors de ses lectures romanesques la topographie des fictions,...
Éric Dussert
novembre 2010
Le Matricule des Anges n°118
Carnet d’adresses
de Didier Blonde
2010
Tel un chauffeur de taxi illégal, Didier Blonde explore les adresses des personnages de romans. Tout le monde l’ignore : Didier Blonde habite au 10 bis de la rue de l’Imaginaire. Comme un collectionneur mordu, il a là accumulé dans les dizaines de milliers de m² des pages de sa bibliothèque les multiples éléments d’une carte du tendre un peu extraordinaire. « Même dans les livres, je préfère les histoires racontées dans un cadre réel à celles qui se déroulent comme en studios, sans repères connus, dans un monde où tout est inventé, en paysages peints. » Patient récoleur, ce chercheur d’outre-vérités a entrepris de relever lors de ses lectures romanesques la topographie des fictions,...
Éric Dussert
novembre 2010
Le Matricule des Anges n°118
Carnet d’adresses
de Didier Blonde
2020
À Paris, où logent les personnages romanesques ? Pour le savoir, consultez l’annuaire littéraire de Didier Blonde. Parfois, comme les yeux fatigués, les titres se croisent. Alain Fleischer n’avait-il pas intitulé un de ses livres Le Carnet d’adresses  ? On confirme, c’était en 2008. Ce Carnet d’adresses-là est signé d’un autre, Didier Blonde, et il n’est pas totalement inédit. Cette édition fusionne, en l’enrichissant, deux de ses précédents livres parus en 2010 et 2012 ; le premier, Carnet d’adresses, publié par J.-B. Pontalis chez Gallimard et le second, Répertoire des domiciles parisiens de quelques personnages fictifs de la littérature à l’enseigne de La Pionnière. Bonne idée de les agréger...
Anthony Dufraisse
juin 2020
Le Matricule des Anges n°214
Cafés, etc.
de Didier Blonde
2019
Certains se lamentent du délitement des liens sociaux dans les mégalopoles, d’autres prennent le pichet par l’anse et, de chroniques en petits livres, montrent qu’il subsiste un lieu où se jouent encore et toujours les échanges les plus divers, jusqu’au plaisir de l’autre, où se conquièrent possiblement détente et observation, tout en jouissant de la libation et, si le cœur en dit, du commentaire gratuit (dit aussi « propos de zinc »). Ce lieu c’est le café. Didier Blonde, flâneur parisien, a réuni les notes prises durant ses nombreuses stations assises pour rendre hommage à...
Éric Dussert
septembre 2019
Le Matricule des Anges n°206
Leïlah Mahi 1932
de Didier Blonde
2015
Nostalgique d’un passé bien antérieur à sa naissance, Didier Blonde poursuit une enquête sans fin dans les replis de l’histoire d’une époque qui le charme, à la recherche de fantômes discrets qui le hantent. Après avoir interrogé L’Inconnue de la Seine et une comédienne du cinéma muet, il a rencontré sur un mur du colombarium du Père-Lachaise la photographie d’une femme au regard troublant coiffée d’un turban. Avec la seule mention de « Leïlah Mahi, l2 août 1932 », nom et date du décès de l’envoûtante mystérieuse, il a remonté le fil d’une existence oubliée. Demi-mondaine opiomane à peu...
Éric Dussert
octobre 2015
Le Matricule des Anges n°167
Les Fantômes du muet
de Didier Blonde
2007
Panégyrique et palimpseste, le récit de Didier Blonde est une toile envoûtante sur le tissu moiré de laquelle les figures oubliées du cinéma muet ressuscitent. Il fut un temps où, au nombre des solennités précieuses et mémorables de l’enfance, la lanterne magique étoilait les rêves diurnes d’apparitions tant merveilleuses qu’inquiétantes. Une époque à jamais révolue où l’image animée recelait cette part inexpugnable de mystère. Les Fantômes du muet ravive cette aura irrésistible parce qu’exquisément surannée d’une « cérémonie hypnotique » aux confins de laquelle gît ce à quoi le désir s’est arrimé et ce vers quoi tout converge : un authentique Pathé baby à manivelle. À proximité de ce « rebut des années d’enfance », le narrateur découvre des...
Jérôme Goude
avril 2007
Le Matricule des Anges n°82