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auteur Dominique Viart

Ouvrages chroniqués

Fins de la littérature. Esthétique et discours de la fin, Tome 1
de Laurent Demanze , Dominique Viart
2012
Elle est bien finie l’époque où un écrivain pouvait apporter à une cause tout le poids de son engagement, relayé qu’il était par la presse et les médias. Créditée d’une autonomie qu’elle a conquise, la littérature préfère les écarts aux affrontements. Tentative d’analyse. Maître de conférences à l’École normale supérieure de Lyon, Laurent Demanze fait partie de ces universitaires qui s’attachent à suivre de près la littérature contemporaine. On lui doit deux essais, parus chez Corti, dont Gérard Macé, l’invention de la mémoire (2009). Avec Dominique Viart, il vient de diriger la publication chez Armand Colin de Fins de la littérature, un ouvrage collectif qui rassemble autant d’universitaires que d’écrivains autour des discours sur la fin de la littérature ou du moins sur le sentiment d’une perte d’influence de la littérature dans nos sociétés. Le fait est...
Thierry Guichard
mai 2012
Le Matricule des Anges n°133
Ecritures blanches
de Dominique Rabaté , Dominique Viart
2009
Qu’est-ce qui peut rapprocher Ernaux et Emaz, Perec et Duras ? Tentative de mettre au jour une forme d’écriture, ennemie de la rhétorique, modeste et entêtée. Comme pour nombre de slogans politiques (pensons, par exemple, à la « fracture sociale »), il arrive que des concepts philosophiques ou esthétiques doivent leur succès au flou, à l’indétermination qui leur est propre. En 1953, Barthes - encore débutant mais pas hésitant pour autant, désireux de s’inventer une voie/voix entre Sartre et Blanchot - met en avant, dans Le Degré zéro de l’écriture, la notion d’ « écriture blanche ». Contre l’écriture « bourgeoi- se » et son faste rhétorique, certains écrivains - le Camus de L’Etranger ou encore Cayrol - feraient le choix de l’absence...
Thierry Cecille
septembre 2009
Le Matricule des Anges n°106
La Littérature française au présent
de Bruno Vercier , Dominique Viart
2005
L’introduction n’engage guère : on n’y évite pas toujours les fausses évidences historiques telle l’antienne des « illusions idéologiques » tombées avec le Mur, on y essaye parfois une terminologie discutable écarter de la main une production « consentante » qui viserait le seul agrément d’un large lectorat, c’est oublier que l’avant-garde peut elle aussi « consentir » aux appétits esthétiques de son public. Il n’empêche : passée cette mise en jambes un peu difficile, c’est d’un pas exact que Dominique Viart et Bruno Vercier (sans oublier Franck Evrard pour les écritures dramatiques)...
N F
mars 2006
Le Matricule des Anges n°71