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auteur Eric Sautou

Ouvrages chroniqués

Les Vacances
de Eric Sautou
2012
Avec Les Vacances, Éric Sautou donne un livre intimiste dans lequel un homme traverse ses regrets, en inventant une langue presque naïve, pour les dire et les jeter aux vents. L’écriture d’Éric Sautou – auteur (né en 1962) d’une dizaine de livres de poésie, dont ce nouvel opus au titre presque flottant – a le charme de la discrétion. On pourrait passer devant sans l’entendre, tant son timbre est celui du chuchotement, de la confidence. Imaginons un instant Michaël Lonsdale ou Sami Frey s’emparer de cette voix… On comprend mieux les raisons qui ont conduit Éric Sautou à placer une citation de Robert Walser à son livre La Tamarissière (Flammarion, 2005) : l’auteur de Au bureau avait cette façon si unique de faire se côtoyer un nonchalant presque-rien-à-dire avec...
Emmanuel Laugier
mars 2012
Le Matricule des Anges n°131
Le Capitaine Nemo
de Eric Sautou
Il semble que les choses, dans les poèmes d’Éric Sautou, les choses ou les très légers vers de quelques mots, sont comme autant de fugitifs mouvements de vie dans un jardin (« on dit des mots simples/ on avance dans l’air », Fleuves, p.37). C’est à chaque instant comme un printemps, même si de la mélancolie pas loin (« on est vivant sur les chemins/ on regarde s’éloigner », Fleuves, p.49). Comme la disparition presque acceptée de la vie, mais quelque chose d’étonné aussi, là tout à coup, et qui persiste. Rien cependant qui s’en aille vers des évidences, ni vers la simplicité naïve...
James Sacré
juillet 2000
Le Matricule des Anges n°31
Le Nom des fleuves
de Eric Sautou
1999
Il semble que les choses, dans les poèmes d’Éric Sautou, les choses ou les très légers vers de quelques mots, sont comme autant de fugitifs mouvements de vie dans un jardin (« on dit des mots simples/ on avance dans l’air », Fleuves, p.37). C’est à chaque instant comme un printemps, même si de la mélancolie pas loin (« on est vivant sur les chemins/ on regarde s’éloigner », Fleuves, p.49). Comme la disparition presque acceptée de la vie, mais quelque chose d’étonné aussi, là tout à coup, et qui persiste. Rien cependant qui s’en aille vers des évidences, ni vers la simplicité naïve...
James Sacré
juillet 2000
Le Matricule des Anges n°31