auteur François Kasbi
Ouvrages chroniqués
Bien sûr que si !
de
François Kasbi
2020
Au prisme d’une relation amoureuse intense, le premier roman de François Kasbi rejoue l’éternelle lutte entre vie et œuvre.
Dans la tête de François Kasbi il y a une bibliothèque aux rayonnages lourds de tant et tant de livres lus, et d’autres, en attente de l’être bientôt, le jour ou la nuit. C’est un genre de Roi-Lire que cet homme-là, « imbibé de littérature » jusqu’à la moelle, admet-il volontiers. Les quelques livres, essentiellement des recueils d’articles et de textes, qu’il nous a donnés jusque-là – et qui ne sont pas seulement des exercices de critique littéraire, mais bien des choix existentiels – témoignent de cette dévorante dévotion aux mots des autres. Or voilà que Kasbi se présente...
Bréviaire capricieux de littérature contemporaine
1998-2018: Pour lecteurs déconcertés, désorientés, désemparés
de
François Kasbi
2018
Un viatique, signé François Kasbi, pour remédier à la déroute de la visite en librairie. Et une gourmandise pour tous les amoureux de littérature.
Sans la littérature, des pans entiers de l’histoire humaine nous demeureraient inconnus. La littérature, c’est d’abord des livres, mais pas ceux, toujours plus nombreux, qui la neutralisent, la démonétisent ou la dénaturent. François Kasbi, lecteur boulimique et critique littéraire – Les Inrocks, La NRF, La Quinzaine littéraire, Le Figaro littéraire, L’Arche… – en guetteur et passeur qu’il est, nous offre aujourd’hui un livre peu académique, qui la célèbre. C’est une sorte de cartographie des paysages littéraires qu’il arpente, au fil des parutions, depuis vingt ans (1998-2018), une somme...

Matulu : Journal rebelle (1971-1974)
de
François Kasbi
2017
Charme et matière sont les mamelles des revues et journaux d’autrefois. Deux anthologie et réédition réveillent les enjeux de nos Anciens. Relecture.
La presse ne nous aura jamais déçus. Bien sûr, on râle lorsque les éditorialistes mollissent du genou, lorsque les rédactions vasouillent parce qu’elles ne savent plus où poser leurs rhétoriques. Il y a du journaliste comme de l’artiste une maladie du ratage : rater l’époque, rater le sujet, rater l’angle, mal choisir ses postulats… et ses fréquentations. Pour autant, il y a toujours quelque chose à consommer dans un journal ou dans un magazine. Si la curiosité prime, elle trouve toujours de quoi s’alimenter. Notez bien que ça n’est pas toujours le cas dans un livre dont la plume unique...