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auteur Gilbert Sorrentino

A propos

Mr Vertigo De Brooklyn au Wild West, l’étonnant Gilbert Sorrentino (1929-2006) explore les territoires formels les plus infréquentables de l’écriture. Une triple balade polyphonique, hors-la-loi, orchestrée par le traducteur Bernard Hoepffner et l’éditeur Olivier Gadet. Une fois n’est pas coutume, commençons par les apparences. Il est parfois important que l’objet tienne bien en main… Les éditions Cent pages sont presque parvenues à réaliser l’osmose du texte et du papier, grâce à un parti pris éditorial radical, qui passe ou qui casse - c’est une affaire de goût. Tranche hardiment sanguine, rappelant celles du Livre de poche d’avant 1980, dont la poussiéreuse palette, explorant toutes les nuances du soleil couchant, égaie aujourd’hui encore les rayonnages des maisons de campagne. Sauf que le noir mat de la couverture vient vite contrecarrer tout ça, qui...
mai 2010
Le Matricule des Anges n°113

Pièces à conviction

Labyrinthique, tentaculaire, et pour tout dire joycien : un roman inclassable de l’écrivain américain Gilbert Sorrentino (1929-2006). Les premières pages ressemblent à celles d’un roman policier (et d’ailleurs c’en est un : Guinea Red, attribué à un certain Antony Lamont, romancier d’avant-garde) : une maison isolée, et le cadavre encore chaud de Ned Baumont ; à ses côtés, son associé en affaires (éditoriales), Martin Halpin, qui est également le narrateur du roman. Détail troublant : Halpin a beau fouiller sa mémoire, il...
juin 2007
Le Matricule des Anges n°84

Ouvrages chroniqués

L' Abîme de l’illusion humaine
de Gilbert Sorrentino
2015
Le dernier ouvrage de l’inventif écrivain américain Gilbert Sorrentino (1929-2006), qui a fait du roman un immense terrain de jeu. Difficile de ne pas considérer l’importance que l’œuvre de Gilbert Sorrentino aura accordée à la forme, à ses contraintes et possibilités. Mais définir l’écrivain à l’aune de l’idée rigide que l’on se fait du « formalisme » serait un peu court. Appartenant de plein droit à l’école postmoderniste, Sorrentino partage avec Pynchon et autres le recours à l’humour et l’ironie comme formes de distance salvatrice ; à la pluralité des voix ou des sources, toujours douteuses ; aux registres littéraires les plus variés comme autant de couches de (non) sens ; à l’excès (trop de pages, trop de...
Guillaume Contré
janvier 2016
Le Matricule des Anges n°169
La Lune dans son envol
de Gilbert Sorrentino
2009
Dans une langue mêlant dérision et inventivité, Gilbert Sorrentino dénonce les artifices du rêve américain. Les personnages des nouvelles de Gilbert Sorrentino se ressemblent tous. Intellectuels, artistes ou écrivains vivant dans de grandes villes comme New York ou San Francisco, ils sont à jamais figés dans une uniformité faite des mêmes aspirations naïves et du même conformisme affligeant. Décédé en 2006, Sorrentino est surtout connu pour son roman Salmigondis et son œuvre qualifiée de « méta-fiction ». L’édition de ce recueil de vingt nouvelles qui couvrent plus de trente ans de sa vie révèle un virtuose des variations, se jouant des formes en d’inépuisables rebonds de phrases et de mots. La...
Yves Le Gall
mai 2009
Le Matricule des Anges n°103
Steelwork
de Gilbert Sorrentino
C’est avec des phrases au rythme saccadé, évoquant les morceaux de jerk que ses personnages choisissent au juke-box de leurs bars de banlieue, que Sorrentino, dans Steelwork, décrit la vie dans un pâté d’immeubles de Brooklyn. En une série de portraits, Tom, Sprenger et les autres défilent : tous issus de familles immigrées. Ils ont la même vitalité que les Italo-américains des romans de John Fante et comme eux ils s’acharnent à survivre et subissent de plein fouet l’histoire, en l’occurrence la Seconde Guerre mondiale et celle de Corée. En revanche, ils en ont perdu la joyeuse naïveté....
Caroline Jane Williams
janvier 2000
Le Matricule des Anges n°29