auteur Léon-Paul Fargue
Ouvrages chroniqués
L' Esprit de Paris
Edition intégrale des chroniques parisiennes
de
Léon-Paul Fargue
2020
Le plus parisien des écrivains du siècle dernier, Léon-Paul Fargue, n’avait toujours pas d’œuvres complètes. Cette scandaleuse lacune est comblée. Les « Chroniques parisiennes » inaugurent la somme.
Bibliographe pour un grand libraire de livres anciens et bibliothécaire, Barbara Pascarel se meut dans le milieu du livre avec beaucoup d’aisance. Curieuse de nature et agissante de tempérament, elle milite depuis plus de vingt ans pour la connaissance de Léon-Paul Fargue, qui sera pour longtemps encore le plus parisien des écrivains. Elle est en particulier la cofondatrice de la Société des amis de L.-P. Fargue et de son bulletin Ludions qui paraît depuis 1996. Son érudition farguienne la place aujourd’hui à la tête du projet d’œuvres complètes du « Piéton de Paris », une somme colossale...
Autre piéton
de
Léon-Paul Fargue
2010
Voici donc l’ultime promenade parisienne de Léon-Paul Fargue (1876-1947) et le dernier texte qu’il donna de son vivant, en 1947, dans deux livraisons de La Nef, quelque trois mois avant de s’éteindre. Après s’être essayé aux grands excitants de son époque ainsi qu’aux sujets dominants d’intérêt (par exemple la mécanique), Fargue s’en retourne aux rues de Paris, « plus chaudes et plus éternelles que ces engouements et inventions ». Son excitant à lui, c’est l’existence flâneuse, la seule capable de le ramener vers ces kiosques devant lesquels toute la société défile comme elle le ferait...
Dîners de lune
de
Léon-Paul Fargue
Bien que contraint, pour des besoins d’argent, de tenir la chronique durant les vingt dernières années de sa vie, Léon-Paul Fargue (1876-1947) n’en fut pas moins un chroniqueur talentueux, talent dont témoignent Déjeuners de soleil et Dîners de lune. Un chroniqueur qui rappelle tantôt la manière de Morand dans sa faculté de noter les infimes évolutions de la société, tantôt la désinvolture de Vialatte. Les trente-trois chroniques regroupées ici ne sauraient être tenues pour de simples pochades comme il serait absurde de les prendre exagérément au sérieux : il convient d’en apprécier...