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auteur Mènis Koumandarèas

Ouvrages chroniqués

La Verrerie
de Mènis Koumandarèas
2021
Réédition du premier et très prégnant roman de Mènis Koumandarèas (1931-2014), figure des lettres helléniques. La focale désigne la distance qui sépare un miroir de son foyer principal. Celle du monumental, autant par son œuvre que sa prestance et sa présence au monde, Mènis Koumandarèas surprend et émeut tout à la fois. Mâtinée de réalisme social, bien ancrée dans l’après-guerre (entre la fin de l’occupation nazie et celle de la dictature des Colonels), période trouble, violente, corrompue, mettant en scène des Grecs petits et moyens, révélant leurs difficultés quotidiennes à s’adapter à un monde nouveau, elle se montre capable de faire jaillir des escarbilles dorées, oniriques, nostalgiques,...
Dominique Aussenac
janvier 2021
Le Matricule des Anges n°219
Mauvais anges
de Mènis Koumandarèas
2019
Par une fresque amère et délicate, l’écrivain grec Mènis Koumandarèas (1931-2014) relate une initiation équivoque. L’ambiguïté est-elle l’apanage des anges ? L’ambiguïté peut-elle définir cette étrange période que l’on nomme adolescence ? L’ambiguïté a-t-elle massacré Pasolini et Mènis Koumandarèas ? Si les assassins du premier n’ont jamais été identifiés, Koumandarèas désignera le sien post mortem dans un de ses ouvrages : un jeune Roumain à qui il prêtait occasionnellement de l’argent. Issu de la bonne société athénienne, considéré comme un des plus grands écrivains grecs du XXe siècle, il est très tôt fasciné par le peuple, ses figures marginales, les perdants, les voyous. Né au cœur d’Athènes,...
Dominique Aussenac
juin 2019
Le Matricule des Anges n°204
Play
de Mènis Koumandarèas
2016
Sauvagement étranglé à son domicile, dans la ville d’Athènes, élément central de son œuvre, Mènis Koumandarèas (1931-2014) a téléguidé post-mortem l’arrestation de ses assassins par l’entremise de son dernier livre, Trésor du temps. Auteur d’une vingtaine d’ouvrages (romans, nouvelles, essais), traducteur d’Hemingway et de Fitzgerald, homme de gauche, très peu connu en France, il est considéré comme une sorte d’aristocrate des lettres grecques. Play, longue nouvelle, parue en 1989 met en abîme les très subtiles ambiguïtés d’un écrivain qui a toujours aimé se mettre en danger. Dans ce...
Dominique Aussenac
mai 2017
Le Matricule des Anges n°183
Le Fils du concierge
de Mènis Koumandarèas
2015
Vanitas vanitatum et omnia vanitas  ! Une vanité, en peinture, est une nature morte évoquant le caractère éphémère de l’existence. Les ouvrages de Ménis Koumandaréas stigmatisent la fragilité de l’homme, de la beauté, leurs vulnérabilités face à la vieillesse et au destin. Leur parfum me fait pleurer, publié en 1996, est un recueil dont les textes se déroulent dans le salon de coiffure d’Euripide, narrateur qui dialogue avec ses clients notamment un certain Charon, passeur d’entre les mondes. Le Fils du concierge met en scène le coiffeur et un gamin de 17 ans. « Je le coiffais depuis ses...
Dominique Aussenac
janvier 2016
Le Matricule des Anges n°169
La Femme du métro
de Mènis Koumandarèas
2010
Heureux le lecteur qui fera un beau voyage avec ce tout petit livre qui est pourtant un grand roman. Le métro d’Athènes dans les années 70. Une femme mariée rentre du travail. Elle a 40 ans, un mari, un foyer, des certitudes, une attente au cœur, sûrement. Un jeune homme de 20 ans s’installe dans le même compartiment. Jour après jour, une rencontre se fait entre elle, Koulà, et lui, Mimis. Ils parlent, se racontent avec des regards, des silences, des maladresses. D’une rame à l’autre, d’une semaine à l’autre, le lecteur savoure chaque flexion des sentiments, chaque accélération du pouls...
Serge Airoldi
juin 2010
Le Matricule des Anges n°114
Le Beau Capitaine
de Mènis Koumandarèas
L’histoire du beau capitaine ressemble à un mauvais songe. C’est la déchéance d’un jeune officier à l’uniforme irréprochable et au visage d’ange dans un monde kafkaïen. Ce qui apparaît d’abord comme une simple formalité - une requête pour demande d’avancement refusé par le Conseil militaire - va se perdre dans les coulisses du Conseil d’Etat. Et passionner le narrateur, maître des requêtes, irrésistiblement attiré par le jeune militaire. « Ce n’était pas tant le pli impeccable du pantalon, les souliers sombres vernis, la cravate képi au noeud triangulaire, l’insigne trônant sur son képi...
Frédérique Roussel
octobre 1993
Le Matricule des Anges n°5