auteur René Vázquez Díaz
A propos
Ce qu'être humain veut dire
Avec une force peu commune, René Vásquez Díaz clôt sa trilogie cubaine : l’histoire d’un fou qui, en se racontant, laisse entrevoir un pays déchiré entre plusieurs générations. Le roman d’une parole libérée.
Humain, voici l’adjectif qui ne cesse de revenir en tête une fois Un amour qui s’étiole refermé. Ce Cuba contemporain, violent, est décrit à travers les yeux d’Oracio, schizophrène sur le chemin de la guérison, observateur toujours à fleur de peau, constamment sur la brèche, qui symbolise à lui seul les contradictions et la force vitale d’un pays en reconstruction. La folie est un sujet délicat en littérature, intraitable presque. Avec René Vázquez Díaz, on atteint une puissance émotionnelle proche du Lenz de Büchner ou du Tendre est la nuit de Fitzgerald. Pour pénétrer dans ce roman, il...
Ouvrages chroniqués
Exilia
de
René Vázquez Díaz
2004
Nouvelles et recettes de cuisine à résonance autobiographique, René Vázquez Díaz poursuit son exploration originale des visages de l’exil.
René Vázquez Díaz quitte Cuba en 1974, alors qu’il est âgé d’une vingtaine d’années, pour la Suède. Il y vit depuis cette date. Voilà pourquoi l’exil constitue le cœur de chacun de ses livres ; l’exil mais surtout, ce que ce dernier impose comme sentiments complexes. Se reconstruire loin de la terre qui nous a vu naître sans l’abandonner, lui rester fidèle, être à l’écoute de la mémoire et de ses innombrables fantômes ; ils peuplent chaque texte de Vázquez Díaz.
L’originalité de la voix de celui qui se définit lui-même comme « le Cubain solitaire », c’est cette tension extrême qui pousse...
Saveurs de Cuba
de
René Vázquez Díaz
2004
Nouvelles et recettes de cuisine à résonance autobiographique, René Vázquez Díaz poursuit son exploration originale des visages de l’exil.
René Vázquez Díaz quitte Cuba en 1974, alors qu’il est âgé d’une vingtaine d’années, pour la Suède. Il y vit depuis cette date. Voilà pourquoi l’exil constitue le cœur de chacun de ses livres ; l’exil mais surtout, ce que ce dernier impose comme sentiments complexes. Se reconstruire loin de la terre qui nous a vu naître sans l’abandonner, lui rester fidèle, être à l’écoute de la mémoire et de ses innombrables fantômes ; ils peuplent chaque texte de Vázquez Díaz.
L’originalité de la voix de celui qui se définit lui-même comme « le Cubain solitaire », c’est cette tension extrême qui pousse...